22 juillet 2018 (24e sortie) : Chiroulet en groupe et col des Palomières en duo

Pour ce dimanche 22 juillet, ce sera une journée tranquille. Avec Denis nous avons discuté la veille à Bagnères quand nous nous sommes vus et il m’a branché pour participer à la montée au Chiroulet (1062 m) pour la journée en souvenir de Jean Jacques Mac, organisée par l’ACBB le club de Bagnères (Avenir Cycliste de Bagnères de Bigorre) avec pique nique au Chiroulet ensuite.

Je suis parti de bon matin à la fraiche, direction Bagnères. Vue splendide sur les Pyrénées. J’ai retrouvé Denis à Bagnères vers 9 h.

En partant vers Bagnères, ce sera une belle journée.

A 9h30 c’est parti dans une bonne ambiance et tranquillement.

Une fois à Beaudéan les VTT ont pris la piste tandis que les vélos de route avons commencé à remonter la vallée de Lesponne, 10 km de montée avec les 3 derniers plus pentus à 9 %. Ça fait bien 3 ans que je ne suis plus monté au Chiroulet en vélo. Là bas c’est les départs de randos bien connues vers le lac Bleu et le lac d’Ourrec notamment.

Au départ avec l’ami Denis !

Les jambes ne sont pas mal et je m’amuse bien dans la montée. Ça faisait longtemps que nous n’avions pas repédalé ensemble, toujours un plaisir. La dernière fois c’était pour le 100 eme Aspin, heureusement, nous nous voyons régulièrement les samedis matins à Bagnères.

Au sommet, regroupement, pique nique au soleil.

Au Chiroulet (1062 m)

Denis étrenne aussi sa nouvelle déco faite par les bons soins de Marlène qui avait fait la mienne et que je lui avais conseillé !

Il y a du monde !

Je m’étais dit que j’allais convaincre Denis d’aller au Tourmalet en suivant, mais je me suis fait avoir, c’est lui qui m’a convaincu d’aller au col des Palomières finalement xD

Bon au final, ce n’est pas plus mal car l’heure tourne et je ne dois pas rentrer trop tard non plus.

Et nous voilà partis dans la descente pour revenir sur Bagnères, Denis file devant, pendant que je plafonne avec mon poids plume derrière et en plus je m’arrête pour prendre en photo des ânes, ça n’arrange pas les choses !

Dans la descente du Chiroulet !

 

A Gerde, c’est parti pour l’ascension. Un bon raidillon bien raide pour nous faire rejoindre la route qui monte depuis Bagnères, une pause obligatoire avec d’autres ânes, bien poilus en plus, et c’est parti pour la suite de l’ascension. J’ai les jambes qui tournent bien, c’est un régal l’ascension ! Je n’y étais plus retourné depuis ma chute de janvier sur l’autre versant.

Une bien belle ascension.

Un poilu !!

 

Au sommet nous avons profité du paysage sur la plaine et les Baronnies puis c’est reparti pour la descente, c’est que je devais rentrer. Denis, lui allait passer voir une de ses amies et c’est donc à la moitié de la descente que nous nous séparons.

Au sommet des Palomières

Denis en arrivant au col

Vue sur la plaine et les Baronnies

Dans la descente

Une belle sortie que nous avons faite ensemble, avec le sourire et la dérision, toujours un vrai plaisir d’être avec Denis !

La suite s’est faite tambours battants pour rentrer, les jambes sont bonnes aujourd’hui c’est agréable.

73 km et 1100 m de D+

(3 commentaires)

    • nikko on 22 août 2018 at 13 h 11 min
    • Répondre

    La vallée de Lesponne depuis Beaudéan, et le Chiroulet tout au bout, c’est mon enfance. J’allais y camper en famille il y a fort longtemps, ça a duré plusieurs années. Les lacs Bleu, Vert, d’Ourrec et de Peyrelade, j’y suis monté quelques fois.
    Merci Idris pour ces souvenirs.

    1. Merci pour ton message Nico 🙂
      C’est une vallée agréable et surtout très calme !!
      J’y allais aussi souvent quand j’étais petit avec mes parents (j’ai grandi à Campan). Par contre en hiver, c’est super encaissé et la plupart de la vallée ne voit pas le soleil. A ce niveau là c’est vrai que c’est tellement encaissé qu’on peut avoir presque une sensation d’oppression en fait si on est pas habitué.

        • nikko on 3 septembre 2018 at 11 h 27 min
        • Répondre

        Quand on y campait l’été il y avait forcément des périodes où les nuages venaient s’y encaisser jusqu’à ce qu’ils soient si bas que la luminosité en était réduite et que les bruits étaient étouffés. Sensation unique de se croire au bout du monde et pourtant si près de la ville.
        Et les orages en pleine nuit avec pour protection une toile de tente, ce grondement énorme qui rebondit sur les flancs de la vallée. J’étais jeune, ça ne m’empêchait pas de dormir 😉

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