2 mars 2025 (4e sortie) : Baronnies et col d’Aspin par Arreau

111 km – 1750 m de D+

Allez, on va continuer d’essayer de ne pas laisser trop de temps entre les sorties pour continuer à faire progresser la forme. J’ai des objectifs en juin, je voudrais pouvoir être en forme à ce moment là.

Pour ce dimanche 2 mars, il fait nuageux avec quelques éclaircies, une bonne occasion de pédaler.

J’ai envie d’aller au col d’Aspin par Arreau.

Pour cela je vais d’abord traverser les Baronnies pour rejoindre la vallée d’Aure. Je vais pouvoir me faire avancer un petit peu car Mélissa doit aller voir sa maman pour la journée sur Lannemezan.

Je lui demande donc de faire un petit crochet pour me déposer sur la crête de Cieutat à l’entrée des Baronnies.

Ça m’évitera la vallée.

Il encore tôt et il fait un froid glacial. Je ne vais pas m’amuser sur le début de la sortie en attendant que la température monte un peu.

D’autant plus que ma sortie va commencer par une descente dans les Baronnies pendant 5 km jusqu’à l’abbaye de l’Escaladieu.

Je suis gelé, je claque des dents et je reste en roue libre pour ne pas prendre trop de vitesse. Ah mais pourquoi j’ai eu envie de partir pédaler ?!

Une fois en bas, je traverse les Baronnies sur un long faux plat montant, en mode réfrigérateur…. Au moins, ce qui est bien c’est qu’il n’y a presque personne. Je suis tranquille et dans le calme.

Juste à un moment, en approchant du pied du col de Coupe, un chien est sorti en courant d’un coffre de voiture qui était arrêtée et a failli me faire tomber. Et ses maitres qui regardent sans rien dire…

Allez, le col de Coupe (720 m) pour sortir des Baronnies, ça va réchauffer. Il fait environ 6 km à 5 % de moyenne, de quoi tourner les jambes tranquillement. Ça fait environ 1 h que je suis parti et la température commence à monter, ça fait du bien !

Je bascule au sommet et je descends de l’autre côté sur Hèches en vallée d’Aure. Là il y a un peu plus de circulation. Je remonte la vallée sur 15 kilomètres tranquillement, jusqu’à Arreau. Ce n’est pas forcément une partie que j’aime mais là j’apprécie tellement de ne plus être frigorifié.

Une fois à Arreau, c’est parti pour l’ascension du col d’Aspin. Le petit plaisir, pas grand monde, ciel nuageux mais pas trop bas, calme total, température plus douce et les jambes qui tournent tranquillement sans forcer et sans subir la pente. Ça fait plaisir de sentir que la forme est ascendante. Je me fais grave plaisir dans cette ascension. Les 12 kilomètres passent presque sans que je ne m’en rende compte. Je prends quelques photos.

La vue est superbe dans le col d’Aspin
Au sommet, vue sur le Pic du Midi

En débouchant au sommet du col d’Aspin, il fait un froid glacial à nouveau ! Je n’ai pas trainé. J’ai entamé la descente dans la vallée de Campan en claquant des dents. Pfiou, dur dur ce froid. Ce n’est que plus bas vers Bagnères que la température a commencé à remonter et que ça a été plus supportable.

Vue sur Payolle dans la descente
Coucou toi !

A l’approche de Tarbes, j’ai fait un petit crochet sur les coteaux pour rajouter un peu de dénivelé et de kilomètres.

Ça fait super plaisir une sortie comme ça. Le moral est au beau fixe !

111 km, 1750 m de D+. 4 ème ascension du col d’Aspin cette année et le 174 ème au total.

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