14 juillet 2011 (17e sortie) : col du Tourmalet

Alors voilà, pour cette journée. En ce jour de 14 juillet, le Tour de France entame la haute montagne (enfin) par les Pyrénées! L’étape relie Cugnaux (banlieue sud de Toulouse) à Luz Ardiden en enchainant la Hourquette d’Ancizan (inédite), le col du Tourmalet et la montée finale vers Luz Ardiden. Depuis la présentation du parcours en octobre dernier, je me suis dit que c’était l’occasion pour moi d’aller pour la première fois en montagne pour voir passer le Tour. J’habite à côté alors autant en profiter.

J’ai décidé d’aller au col du Tourmalet. Je me suis donc levé à 5h du matin pour me préparer tranquillement. Je ne cache pas que j’étais plein de doutes notamment à cause de la dernière sortie en montagne le 2 juillet qui avait été une grosse déception et surtout que depuis je n’avais pas refais de grande sortie donc les jambes n’étaient pas top et à cela on peut ajouter un manque de sommeil car j’ai vadrouillé à Toulouse et Auch les jours précédents! Bref ça ne s’annonçait pas au mieux… Je me suis donc préparé tranquillement et à 6h25 par là, j’ai enfourché le vélo (le VTC). C’est parti, direction le col du Tourmalet!

Dès le début j’ai senti que les jambes allaient faire mal! J’étais vraiment pas en forme! Là j’avais beaucoup d’appréhension, presque de l’angoisse…

Alors que je pensais qu’il allait y avoir un gros trafic, j’ai été surpris de voir que jusqu’à Bagnères il n’y a que quelques voitures seulement qui m’ont dépassées!

Niveau météo, c’était très nuageux au dessus de la plaine même si ça donnait l’impression de se dégager au fur et à mesure. Par contre, les montagne étaient masquées par les nuages et je m’attendais donc à me retrouver dans le brouillard à partir de 1500m d’altitude à peu près.

Les deux petites côtes avant Bagnères ont fait mal aux jambes…sur le moment je me suis dit mais comment je vais faire pour le Tourmalet si sur ces minis côtes j’ai du mal… Heureusement ça commençait quand même à aller mieux. En arrivant à Bagnères, alors que je me suis arrêté au feu rouge, des véhicules de l’Equipe de la caravane publicitaire sont arrivés de la route de Toulouse (de la gauche) et ont pris la route de Sainte Marie de Campan.

J’ai continué mon chemin tranquillement mais sans trop lambiner non plus… La côte de 1,2 kilomètre juste avant Campan a fait mal aux jambes mais je sentais une nette amélioration quand même par rapport au début. Mais j’étais loin du compte car cette côte je la passe sur le grand plateau sans changer de pignon normalement… A la sortie de Campan, je rejoins la grande route (route unique) menant à Sainte Marie de Campan. Là des véhicules des équipes Europcar et Euskaltel me dépassent. Il y a beaucoup de circulation d’un seul coup avec notamment un convoi de gendarmes (bus, fourgons, voitures) qui m’a dépassé. Il y avait beaucoup de monde et quelques cyclistes. Sur les portions montantes, à ma grande surprise, j’ai pu garder le grand plateau comme je fais habituellement sans trop trop de mal. J’ai juste passé le 39 dents pour le dernier raidillon avant Sainte Marie de Campan qui est raide. Là j’ai rattrapé un cycliste qui avait un vélo de route tandis qu’un autre me dépassait. A Sainte Marie de Campan, je me suis arrêté pour manger une pâte de fruit, j’ai un peu discuté avec le cycliste qui venait de me dépasser et qui s’est arrêté aussi. Il me raconte qu’il vient de Lille et qu’il est dans les Pyrénées depuis 1 semaine. Et il est parti pour monter le Tourmalet des deux côtés! Là il est 8h10. je m’attends à mettre beaucoup de temps pour monter…

Et c’est parti.

Les 4 à 5 premiers kilomètres sont faciles et roulant. Le bord de la route est très humide on sent qu’il a plu dans la nuit… Il fait frais, je garde donc ma veste thermique.

Quelques personnes sont sur le bord de la route et prennent leur petit déjeuner. A partir de Gripp ça devient raide, c’est parti pour les 12 derniers kilomètres difficiles. Je me cale comme d’habitude sur le 39 dents. Et là je me rends compte que j’arrive à le tenir. Petite satisfaction. Je rattrape même un espagnol sur un vélo de route. Plusieurs cyclistes me dépassent, il commence à y avoir beaucoup de camping car sur les bords de la route et de nombreuses voitures me dépassent ainsi que des bus. C’est infernal, on ne peut pas parler de l’air pur de la montagne…

Beaucoup de gens m’encourageaient (plus que les autres) sûrement parce que j’étais avec le VTC. Le lacet du Garet (très raide qui annonce la partie très difficile avant La Mongie) a été dur, la relance a fait mal aux jambes. Je continuais toujours en danseuse comme d’habitude sur le 39 dents mais je sentais que ça devenait de plus en plus difficile. A cela, il fallait dépasser les gens qui montaient à pied sans faire de gros écarts car les voitures dépassaient à côté…

Juste avant les paravalanches de La Mongie, alors que j’étais dans un brouillard dense (on y voyait pas à plus de 20m), je me mets à mouliner car ça devenait dur pour les jambes… Là c’est une file continue de camping car qui sont garés, des gens partout. Sur l’entrée d’un paravalanche, des jeunes ont mis une banderoles avec une énorme faute d’orthographe « alleR Voeckler »….

Beaucoup d’eau ruisselait des paravalanches. je transpirais énormément, j’ai rarement étais en nage de la sorte et pourtant il ne faisait pas chaud. La buée sur les lunettes m’empêchait de bien y voir et ce bruit de toute part entre les spectateurs, les véhicules, l’eau qui coule, les moteurs de certains camping car allumés… Bref, impressionnant. A la sortie des derniers paravalanches avant La Mongie, ça devient dur de relancer et je reste la plupart du temps assis. même si lorsque je relance c’est assez efficace et énergique. La traversée de La Mongie sur des pentes très raides se fait au milieu d’une foule. Mais bizarrement là, ça va mieux pour les jambes (comme pour le 4 juin lors de la Montée du Géant). Juste après, ça repart dans le dur. A la sortie de la station, des gendarmes régulent la circulation et demandent à la plupart des véhicules de se garer là. Ouf, voilà moins de voitures à surveiller!

Mais beaucoup de monde et faut faire gaffe entre les piétons qui se mettent à traverser sans regarder derrière quand on arrive ou à ceux qui te voient arriver sans chercher à s’écarter pour te faciliter la tâche. vraiment pénible ça!! La fin est très dure sur les 4 derniers kilomètres… Je reste assis sur le vélo la plupart du temps. Le brouillard est dense…il fait froid, je remonte les fermetures de ma veste thermique… Juste après être passé devant les supporters norvégiens, je me suis arrêté à côté du panneau annonçant le sommet à 1 kilomètre pour manger pendant 30sec une pâte de fruit car les jambes me brûlaient là!! Et je repars de suite, la fin étant proche mais impossible de me mettre en danseuse, ça fait trop mal. Je fais tout assis. Le dernier virage à 500m arrive sans que je m’y attende car le brouillard a fait que je ne l’ai pas vu arriver. Il est terrible à chaque fois ce virage mais plus encore là. Il est très raide et donne sur les derniers 400m à 14%, je me mets en danseuse pour le passer mais au bout de 10m je me rassois, je le passe assis en me faisant vraiment mal, puis c’est la dernière rampe très raide, je regarde par terre les indications 300, 200 qui indiquent le nombre de mètres avant le sommet, c’est long, très long, et pourtant je rattrape des cyclistes devant moi… Il ya  beaucoup de monde sur les bords mais je n’y fais pas attention. Enfin le sommet!! Il y a énormément de monde entre les ouvriers qui montent les barrières, les cyclistes qui sont montés en vélo, les camping car garés et les curieux qui sont montés en voitures! ça se bouscule au portillon. Je demande à un hollandais de me prendre en photo.Il est 10h, j’ai mis 2h pile pour monter, ça a été très très dur sur la fin mais la vitesse n’était pas trop mauvaise apparemment. Cependant, ça a été probablement mon ascension du tourmalet la plus difficile. Là je me suis vraiment arraché et fait mal pour monter en haut…

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Là je décide de redescendre et de me choisir une bonne place. Je mets mon K-Way, mon écharpe chaude (j’ai eu une très bonne idée de la prendre), je mange une pâte de fruit et au moment où je veux donner le coup de pédale pour repartir…crampe sur le mollet droit…ouch… Vaut mieux maintenant au sommet du col que pendant la montée. Je me masse un peu et attends 1 à 2 min que ça aille mieux avant de repartir dans la descente. Je suis sur les freins en train de zig zaguer entre els cyclistes et les piétons et puis juste là avant le virage à 300m du sommet, je décide de m’arrêter car ça a l’air d’être une bonne place. En effet, on est au bord de la dernière rampe, on voit le lacet d’en bas avec le dernier virage et surtout on aperçoit La Mongie avec la route qui vient au sommet du col, soit à peu près 4 kilomètres de vision!! Je pose mon vélo sur le bord. Et je discute avec le monsieur (73 ans) à côté de moi. C’est un très bon cycliste amateur qui en a fait des choses : Paris Nice amateur, Tour de France amateur, Paris Brest Paris, Paris Roubaix, La Rochelle Madrid, de nombreuses Etape du Tour, des cyclosportives, les cinglés du Ventoux… ref il y a de quoi discuter et faire passer le temps car les coureurs sont prévus pour 16h! En tout cas, ça y est, je vais voir passer le Tour de France à 300m du sommet du mythe des Pyrénées à 2086m d’altitude (d’après le GPS) et cela par mes propres moyens puisque je suis parti en vélo de chez moi jusqu’ici. d’ailleurs je ne prendrai jamais la voiture pour aller voir passer le Tour de France, ce n’est pas trop dans ma mentalité ni dans mon style.

Un peu plus tard alors que de plus en plus de monde passe en vélo et vient se placer, une autre personne, se met à côté et entame la conversation. Il s’agit de David (28 ans), très sympa, qui est monté par l’autre versant après avoir laissé son van à Barèges. Nous discutons pendant l’attente. Très bonne ambiance. Le seul gros bémol c’est le brouillard permanent et ce vent presque glacial… je tremblais de froid c’était impressionnant… Le brouillard était pénible car il passait par vague et même si nous étions en permanence dans le brouillard, la vue sur La Mongie était tantôt dégagée tantôt masquée…

Pour savoir ce qu’il se passait dans l’étape, tout le monde essayait de se renseigner. On a eu une info de quelqu’un d’autre comme quoi 6 coureurs étaient devant avec Roy, Perez, Kadri, Thomas notamment. Pour ma part j’étais tenu au courant par texto par plusieurs amis qui étaient devant la télé. Et ainsi nous avons pu savoir ce qu’il se passait.

Alors que la caravane est passée avec un brouillars peut dense (La Mongie était visible), le brouillard s’est énormément épaissi et on ne voyait presque plus le lacet du dessous, tout proche pourtant… Quel dommage d’avoir la vue bouchée pour le passage des coureurs. Le texto « ils sont à La Mongie » que j’ai lu à voie haute, nous a permis de nous attendre à les voir d’ici 10min. Et surgirent du brouillard, su le lacet du dessous, deux coureurs, Thomas et Roy. Roy semblait mieux que Thomas et c’est effectivement lui qui est passé en tête au Tourmalet 300m plus loin. Juste derrière, Perez de Euskaltel suivi par Kadri, dents serrées en danseuse. Plus loin Kreuziger puis ensuite Mangel. Puis Ten Dam et Trofimov.

Après c’est au tour du peloton maillot jaune d’arriver avec Voigt de Leopard pour emmener. il m’a fait forte impression en passant. J’ai bien reconnu Voeckler en jaune qui avait l’air très facile. J’ai distingué un Schleck mais je ne sais pas lequel car mon regard s’est attardé sur le maillot jaune. J’ai vu Leipheimer en milieu de groupe qui bavait pas mal. En fin de groupe presque lâché, Gilbert dans son maillot de champion de Belgique.

Après plus loin derrière c’est une multitude petits groupes qui passent. J’ai reconnu (je ne les cite pas dans l’ordre) Kloden avec son maillot déchiré et qui grimaçait (j’ai appris en rentrant qu’il était tombé dans la Hourquette d’Ancizan comme d’autres coureurs) Casar, Moncoutié, Charteau, Gautier, Martin qui avait le visage extrêmement marqué ça faisait presque peur, Gesink dans son maillot blanc très très loin, Barredo, Millar tout seul avec son coude couvert de bandage, Pineau, Karpets, Gerdemann, Chavanel dans son maillot de champion de France, Hoogerland le héros de l’étape de Saint Flour avec son maillot à pois, Karpets, Rojas qui était pas mal bien devant le gruppetto. Plus loin, un premier groupe d’attardé est passé. Je n’ai pas reconnu de coureurs dedans.

Et là, le brouillard se lève et on voit la route qui va à La Mongie, juste après le passage des coureurs comme par hasard… On voit arriver le gruppetto au loin. Dedans, en tête facilement reconnaissable, Hushovd avec son maillot de champion du monde. Cavendih en vert également.

ça y est ils sont passés. J’ai pu reconnaitre pas mal de coureurs c’était sympa, j’ai du enoublier certains que j’ai reconnu.

Tout le monde commence à partir. Je n’ai pas trop envie de m’attarder dans le froid non plus. Le brouillard s’est levé maintenant comme par hasard. Les véhicules se mettent en route, quel bazar. le temps de dire au revoir aux personens avec qui j’ai discuté. On échange encore quelques mots avec David. Je le prends en photo avec son VTT. On se dit au revoir et peut être rendez vous au lendemain (aujourd’hui) pour l’arrivée à Lourdes car il est dans les Pyrénées pour un mariage et doit passer à Lourdes le 15 juillet (il est originaire de la Vendée). on échange donc nos coordonnées.

Et me voilà parti dans la descente. J’y vais doucement car entre els vélos qui ne vont pas vite, les piétons et les voitures il faut faire attention. Alors que je viens de descendre 1 kilomètre seulement, des gendarmes en moto nous font signe de nous arrêter. Il y a encore un coureur! Le pauvre russe Denis Galimzyanov que j’ai reconnu, était tout seul. Il n’avançait pas. Il avait presque els larmes aux yeux, le pauvre, j’avais d ela peine pour lui. Nous étions à 1,5km du sommet et pour avoir galéré lorsque je suis monté, je sais combien ça peut être long… Au moment où il est passé devant moi, j’ai crié pour l’encourager, je ne sais pas si c’est moi mais pile à ce moment il a relancé en se dressant sur les pédales. En rentrant le soir, j’ai vu qu’il n’avait pas fini dans les délais…

J’ai donc continué la descente. La file de véhicules sur la droite de la route était impressionnante. Mais ça n’avançait pas, tout le monde était arrêté. Et donc je me suis mis dans la voie de gauche en faisant attention aux quelques véhicules qui montaient vers le sommet. Tous les cyclistes ont fait pareil. A La Mongie il y avait le relais étape avec un écran géant pour suivre l’étape, je me suis arrêté mais avec le monde qu’il y avait et distinguant que ça n’attaquait pas, j’ai décidé de continuer la descente. Faire toute la descente du Tourmalet à contre sens ça n’arrive pas tout els jours. Tout le long il y avait une file impressionnante de véhicules qui cherchaient à descendre. Jusqu’à Campan, on dépassait les voitures. Après j’ai pris la petite route pour finir le trajet. ce fut un peu long sur la fin mais je repensais à la journée et c’est passé. C’était vraiment sympa comme journée mais glacial quand même…je craignais de m’être enrhumé…

Au total j’ai donc fait 95 kilomètres en vélo et que ce fut dur la montée!!! Mais d’un autre côté je me dis que vu les très mauvaises jambes que j’avais, c’est une sacré performance que d’avoir pu monter le col du Tourmalet quand même! Un petit peu de stats, c’était ma 5e ascension du Tourmalet cette année déjà! Ma 8e au total (2 fois en 2009, 1 fois en 2010, 5 fois en 2011). Et petit clin d’oeil car cela fait presque 2 ans jour pour jour (le 15 juillet 2009) que j’ai fait ma première grosse sortie en montagne (même si j’ai monté 1 fois le col d’Aspin en 2008 presque 11 mois avant le 15 juillet 2009).

 

Voici les photos (je referai un article avec ces mêmes photos du Tour), malheureusement j’en ai raté pas mal :

 

Vue depuis l’emplacement sur La Mongie et toute la route :

 

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La caravane dans le brouillard assez souvent :

 

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Là on voit le vélo sur la photo :

 

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Roy et Thomas :

 

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Kadri (Perez est juste devant dans le dernier virage) :

 

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Mangel (Kreuziger est devant) :

 

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Peloton maillot jaune :

 

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Ten Dam et Trofimov juste devant le peloton :

 

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Peloton maillot jaune avec Voeckler en jaune, un Schleck à côté (même là j’ai du mal à savoir lequel, je dirai Andy) et c’est Basso qui est derrière :

 

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Chavanel, le champion de France :

 

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Barredo :

 

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Hoogerland dans son maillot à pois (là la photo est très mauvaise) :

 

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Roelandts, ancien champion de Belgique :

 

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Premier groupe d’attardés :

 

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Gruppetto avec Hushovd et Cavendish notamment :

 

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Hushovd devant à droite :

 

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coucou ça va?^^ (Hushovd est au fond à droite en traind e regarder sa main) :

 

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David au moment de se quitter (il a mis pas mal de journaux sous son sweat pour se protéger du froid d’où cette drôle d’impression) :

 

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C’était vraiment une bonne expérience. Et ce qui était bien c’est qu’on ne se bousculait pas non plus là haut contrairement à ce qu’on peut penser (moins qu’aux arrivées des étapes par exemple).

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  1. […] Cela faisait 4 ans que je n’étais plus dans les Pyrénées pour voir passer le Tour, depuis 2011 où j’avais été au sommet du col du Tourmalet pour les […]

  2. […] été en difficulté dans le col du Tourmalet… Hé bien il me semble que c’était le 14 juillet 2011… Une éternité […]

  3. […] me libérer ! J’envisage d’aller les voir passer au col du Tourmalet (2115 m) comme en 2011 et 2015 (j’y étais aussi pour la Route du Sud en 2014). A chaque fois je me place à 300 m […]

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