23 juin 2017 (18e sortie) : Lacs du Néouvielle (Orédon, Cap de Long, Aumar, Aubert)

Des fois le travail a du bon pour le vélo !!

Pour le week end du 23 au 25 juin, je dois me rendre à Saint Lary au fin fond de la vallée d’Aure pour y tenir mon stand lors du Patou Trail qui se tient là chaque année.

C’est une amie co-organisatrice et grande traileuse, qui m’a proposé d’être présent sur l’évènement, histoire de m’aider à continuer à faire connaitre mon entreprise dans des canaux qui pourraient être porteurs.

J’ai accepté, histoire d’essayer. Ce sera la première fois sur ce genre d’évènement.

Les semaines précédentes ont été plus que bien chargées et cette semaine n’a pas dérogé à la règle (tant mieux), mais ça commence à tirer sur la corde quand même. J’ai fini ma journée de la veille à 21 h et j’ai tout préparé en suivant pendant la nuit…

Bien sûr, Saint Lary ça fait une trotte (c’est pour ça qu’en vélo j’y passe rarement) et j’ai opté pour piquer ma tente au camping là bas les 2 soirs où j’y resterai (le 23 et 24 au soir).

L’évènement commence vendredi en début d’après midi jusqu’à dimanche en début d’après midi.

Tout est chargé dans la voiture pour mon stand, avec aussi la tente et par dessus j’ai mis le porte vélo avec le vélo^^

Évidement, vu que ce n’est pas souvent que je vais par là bas, je prévois de pédaler un petit peu, au moins une fois. Les prévisions météo ne sont pas forcément bonnes pour le week end mais j’aviserai sur le moment.

Au départ de Saint Lary il y a déjà quelques belles ascensions où j’ai pu poser mes roues dans des supers sorties et enchainements comme le col d’Azet (1580 m), le Pla d’Adet (1680 m) ou encore le col du Portet (2215 m). Mais à l’inverse il y en a d’autres où je n’ai pas encore pu y aller notamment les lacs du Néouvielle, des ascensions à plus de 2000 m qui sont sublimes ou encore la station de Piau Engaly (1865 m) ou le Tunnel de Bielsa (1821 m) sur la frontière. J’avais tenté une fois en 2011 d’y aller mais la route de l’Espagne après Saint Lary est très passante à certains horaires et j’avais préféré renoncer en voyant le nombre de camions et de voitures qui me dépassaient ce jour là. Et depuis je n’avais plus tenté d’y aller, n’ayant pas du tout aimé la circulation que j’avais vu. Là ce sera une occasion de réessayer et de voir à des horaires différents.

J’ai prévu de partir très tôt vendredi matin afin de pouvoir pédaler la matinée et revenir, me changer et pouvoir installer le stand à la mi-journée et être sur le pont tout l’après midi du vendredi.

Pour le samedi l’évènement s’étale sur toute la journée et le dimanche c’est en théorie jusqu’à 13 h.

Vendredi matin en partant en voiture pour aller à Saint Lary vers 6h30 (le réveil à 4h45 fut dur après la courte nuit), il pleuvait légèrement… Ben mince alors. J’hésitais vraiment car j’avais aussi la possibilité de dormir plus longtemps et de zapper la sortie en vélo…

Mais j’avais vu que les prévisions devraient s’améliorer dans la matinée, alors je suis quand même parti.

Après un peu plus d’1 h de route je suis arrivé à Saint Lary, le temps de trouver où avait lieu l’évènement. J’ai ensuite envisagé d’aller pédaler, le ciel était toujours bouché, il faisait très frais et il bruinait. J’ai regardé sur mon téléphone la webcam du Pic du Midi et j’ai vu qu’en altitude le ciel était entièrement dégagé et que les nuages étaient bas, signe que j’allais passer rapidement au dessus des nuages.

C’est ainsi que vers 8h30 j’ai enfourché le vélo. Objectif redescendre à Saint Lary pour midi. Les prévisions pour la suite du week end n’étant pas très optimistes, je n’avais pas de certitude de pouvoir repédaler ensuite, j’ai donc choisi le parcours que j’avais le plus envie de faire : les lacs du Néouvielle.

Il s’agit de 4 lacs accessibles par la route dans le massif du Néouvielle (3091 m) et le massif voisin de Pic Long Campbieil (3192 m).

Les ascensions sont communes sur près de 20 km au départ de Saint Lary jusqu’au lac d’Orédon (1849 m), le plus bas des 4. De là, on peut continuer tout droit sur encore 4 km jusqu’au lac de Cap de Long (2160 m) ou alors aller à droite et grimper encore pendant plus de 5 km et rejoindre le lac d’Aumar (2192 m) puis le lac d’Aubert qui est 1 km plus loin (2148 m).

Au départ de Saint Lary ce sont de belles ascensions dignes des HC du Tour de France, mais qui ont l’avantage d’être en plein coeur du parc national du Néouvielle, en zone protégée.

Ça commence d’abord par 9 km sur la route de l’Espagne (là où il y a le plus de circulation), sur des pourcentages pas très raides compris entre 3 et 6 %, puis ensuite à Fabian au 9e kilomètre, on prend à droite et là la pente se cabre de suite et on part sur une route beaucoup plus sauvage et sublime avec 10 km entre 7 et 11 % (presque 8 % de moyenne sur cette partie) jusqu’au lac d’Orédon.

De là pour aller au lac de Cap de Long il reste 4 km à grimper avec des lacets et des passages très raides (plus de 10 %) mais aussi un replat.

Quant au lac d’Aumar, il y a une descente de 500 m jusqu’au barrage du lac d’Orédon avant d’avoir 5 km à gravir sur des pentes comprises entre 6 et 12 % (voire plus à un moment). Le lac d’Aubert est 1 km plus loin en faux plat descendant.

Bref des bonnes ascensions pour se dérouiller les jambes^^

Petite précision, pour ces 3 jours à passer à Saint Lary, j’avais pris avec moi le Grandsaigne et non pas mon vélo de route habituel. Etant donné qu’au camping j’allais devoir le laisser dehors, j’ai préféré prendre le vieux vélo. Je n’ai pas de compteur sur ce vélo, donc lors de mes ascensions je n’avais ni distance, ni vitesse, ni pourcentage. Juste ma montre pour veiller à revenir à l’heure.

Au moment où j’ai commencé à pédaler, j’avais la veste thermique (alors qu’il faisait une canicule pas possible la veille encore !!), il bruinait.

C’est parti. Les nuages sont bas, un peu de bruine, mais juste après ça ira mieux !

Les 9 premiers kilomètres sont roulants et se passent en force. Il s’agit de la route de l’Espagne, la route est large, remonte les gorges, mais j’ai été agréablement surpris de la faible circulation ce jour là. Et du coup j’ai plutôt relativement apprécié cette partie. A un moment il y a 1,5 km de route en travaux, du coup il y a des trous partout et ça vibre beaucoup, mais le reste du temps c’est un billard et on progresse bien.

La Cité Eget, le Pont du Moudang et enfin Fabian au 9e kilomètre qui annonce la bifurcation.

Juste après le pont, je prends à droite en direction des lacs du Néouvielle.

D’un seul coup c’est le calme plat. Mais pas pour la route qui se cabre directement. On y est !!

Le plafond nuageux est de plus en plus lumineux, signe que je vais bientôt me retrouver au soleil.

Les pourcentages oscillent entre 7 et 11 % voire peut être plus par moment. La route continue de remonter le torrent au début avant de s’élever plus franchement avec des beaux lacets.

Je n’avais aucune indication de distance ni de vitesse, juste mes sensations dans les jambes qui étaient plutôt bonnes.

Après la bifurcation, la route devient plus granuleuse et l’environnement de plus en plus sauvage.

Bientôt le soleil.

Très bientôt.

Le voici.

ça y est le soleil !!

Plus je grimpais et plus j’en prenais plein les yeux, je mitraillais de photos. Voilà un endroit où j’avais envie de venir depuis longtemps !

Le cadre est très sauvage et digne de décors de films.

Les lacets et lignes droites se succèdent. J’étais vraiment content de voir que les jambes tournaient bien sans se poser trop de question.

A un moment je suis arrivé sur une enfilade de lacets courts et raides, de quoi avoir des points de vues sympa.

On aperçoit les lacets en enfilade en haut devant.

Magnifique !!

Juste après une bonne ligne droite à flanc de ravin. Ça donnait presque le vertige de voir le ravin juste à côté avec plusieurs centaines de mètres de vide. C’était top.

Peu après je suis arrivé à la bifurcation en surplomb du lac d’Orédon (1849 m). Sur le moment je ne savais plus à quelle altitude il était.

A droite c’est le lac d’Aumar et d’Aubert, tout droit c’est le lac de Cap de Long.

J’ai opté pour aller d’abord tout droit. Je commençais à avoir sacrément faim ! C’est que je n’avais pas pris de petit dej’ avant de partir, juste mangé 3 biscuits^^

Je me disais que j’allais manger une fois en haut.

Bientôt le lac d’Orédon, juste derrière, la maison qu’on voit le surplombe.

Il faisait grand soleil maintenant et la température augmentait, j’hésitais à enlever ma veste thermique mais j’avais peur qu’il fasse un poil frais avec la transpiration.

Je ne savais plus combien de kilomètres il me restait jusqu’au lac de Cap de Long, mais j’avais le barrage en point de mire au loin, avec la route qui longe en surplomb le lac d’Orédon. De quoi avoir de magnifiques points de vue avec le massif du Néouvielle juste au dessus.

Il y avait des passages vraiment raides et ça tirait dans les jambes, par moment j’étais maintenant un peu à l’arrache.

Le lac d’Orédon à droite en bas et le barrage de Cap de Long qu’on aperçoit là haut.

Lac d’Orédon.

Superbe panorama sur le lac d’Orédon et la route du lac d’Aumar et d’Aubert qu’on distingue un peu sur l’autre versant.

Alors que j’avançais je distinguais les derniers lacets qui montent pour arriver au barrage et juste avant, je me suis cru revenir au col d’Izoard avec une sorte de Casse-Déserte qui s’offrait devant moi. Un peu de descente (quelques centaines de mètres) sur une route étroite, juste à côté du ravin dans un décor grandiose et lunaire.

Un pur régal.

Juste en suivant, quelques lacets bien sentis et me voilà au niveau du barrage de Cap de Long à 2160 m.

Une sorte de Casse Déserte s’offre à moi !! Juste génial !!

Sublime.

Au calme, presque personne. Juste l’aubergiste qui s’affaire à préparer sa terrasse. J’ai pédalé pour faire le tour du lac jusqu’au bout du chemin. C’est un lac plutôt, enclavé. Il y fait bien frais. C’est le 2e plus grand lac des Pyrénées (110 ha) mais de là où on peut accéder en vélo, on ne voit qu’une partie car une déformation rocheuse masque la deuxième partie. Mais le plus impressionnant c’est le point de vue sur le lac d’Orédon.

On a l’impression d’être au bout du bout du chemin (ce qui est le cas). Et de l’autre côté du lac d’Orédon on voit une partie de la route qui monte au lac d’Aumar.

On y est !! Le barrage de Cap de Long à 2160 m !

Le lac de Cap de Long.

2e plus grand lac des Pyrénées, on n’en voit qu’une partie.

J’ai pris pas mal de photos et j’ai décidé de redescendre au lac d’Orédon pour ensuite grimper au lac d’Aumar et d’Aubert. J’avais vraiment faim mais j’ai pris le risque de la fringale pour profiter de manger en haut de la dernière montée.

Panorama depuis le lac de Cap de Long avec vue sur le lac d’Orédon et la fin de l’ascension vers Cap de Long.

En panoramique !

J’ai attaqué ces 4 km de descente en faisant quelques arrêts photos, puis j’ai pris la direction des 2 autres lacs. La route descend sur quelques centaines de mètres supplémentaires jusqu’au barrage d’Orédon que l’on traverse. Bien sûr, photos obligatoires !! Superbe vue du reflet du barrage de Cap de Long et du Néouvielle à côté dans le lac !!

Là il faisait chaud, j’ai enlevé ma veste thermique.

La route transformée en ruisseau au niveau de l’intersection.

Le lac d’Orédon, on va descendre sur le barrage pour aller de l’autre côté pour la suite de la montée.

Barrage d’Orédon.

Sublime !! Le reflet du barrage de Cap de LOng et du Néouvielle dans le lac d’Orédon.

En repartant j’ai passé le péage qui marque l’entrée dans la réserve protégée du Néouvielle. Je suis passé au moment où une voiture redémarrait et la barrière s’est abaissé très vite alors que la voiture était à peine passée, j’ai esquivé d’un mouvement de tête mais j’étais parti pour la prendre sur la figure^^ (c’est curieux qu’ils n’aient pas mis un panneau pour dire aux cycliste de serrer à gauche pour ne pas risquer de la prendre sur la tête).

Ensuite la route s’élève sur de bons pourcentages, dans la forêt avec d’abord une vue sur le lac d’Orédon avant de se retrouver entièrement dans les arbres.

On s’élève rapidement, ça grimpe fort.

La route qui mène à Cap de Long que j’ai prise tout à l’heure.

La réserve du Néouvielle, zone protégée.

A un moment une longue ligne droite à plus de 12 % (voire plus), celle là elle a fait mal aux jambes. Et en plus, moi qui pensais qu’il n’y avait pas beaucoup de kilomètres à remonter (vu que je ne savais plus les altitudes), j’ai commencé à trouver le temps long^^

Mais après plus de 5 km, j’ai débouché sur le plateau là haut avec d’abord le lac d’Aumar qui s’est dévoilé devant moi. J’ai continué ensuite la route pendant 1 km en faux plat descendant pour déboucher sur le bout de la route devant le lac d’Aubert dans un décor sublime !!

Que c’était beau !!

J’arrive sur le sommet, bientôt le lac d’Aumar va se dévoiler.

Le lac d’Aumar (2190 m).

Sur la route qui mène au lac d’Aubert.

Le lac d’Aubert se dévoile.

Le lac d’Aubert (2148 m)

Au bout de la route.

Le Grandsaigne profite du paysage !

Le selfie souvenir de cette sortie.

Le Ramoun et le pic du Néouvielle, à plus de 3000 m.

La Hourquette d’Aubert et le col de Madamète plus à droite qui font repasser par les sentiers sur le domaine du Tourmalet par les sentiers.

La route a suivi la fin d’une grande vallée glaciaire, c’était impressionnant de voir comment la montagne a été façonnée à cet endroit. Et bien sûr tout en haut, le Ramoun (3011 m) et le Pic du Néouvielle (3091 m) qui veillent sur nous !!

J’ai passé quelques minutes à regarder la table d’orientation et à admirer le paysage.

J’ai regardé ma montre, il fallait que je songe à redescendre car j’avais ensuite ma place au camping à prendre, monter ma tente, mon stand à installer et l’après midi et le soir à être à pied d’oeuvre.

J’ai donc repris mon chemin en remontant déjà le premier kilomètre jusqu’au lac d’Aumar où j’ai mangé le reste de mon paquet de biscuits. Enfin, que ça faisait du bien !!

Il faisait vraiment chaud, si bien que j’ai attaqué la descente en manches courtes sans k-way.

On repasse du côté du lac d’Aumar.

Petit regard en arrière sur le Néouvielle.

D’abord une descente rapide sur les forts pourcentages jusqu’au lac d’Orédon avant de remonter avec quelques mètres très raides pour rejoindre la bifurcation et la route de Saint Lary.

Là dans la descente je me suis fait plaisir enr estant prudent quand même car c’est étroit. Mais à pleine vitesse à quelques centimètres du bord de la route (où il n’y avait pas de parapet) et le ravin profond de plusieurs centaines de mètres juste à côté, ça fait monter l’adrénaline !! Je n’avais pas de compteur donc je ne connaissais pas vitesse mais à l’approche des virages, fallait pas que ça lâche, en plus sur le Grandsaigne, le freinage n’est pas super top par rapport à mon vélo de route habituel. Mais toute la descente s’est bien passé et ça a été un régal.

J’ai vite rejoint Fabian et la route principale de Saint Lary. Ces 9 kilomètres restants jusqu’à Saint Lary m’ont paru longs je dois dire et je me demandais comment j’avais fait pour les trouver pas trop pénibles dans le sens de la montée, mais sur le moment je ne ressentais pas de motivation pour les jours prochains à repasser là et pourtant la circulation est faible.

J’ai terminé ma descente à Saint Lary. Bien content mais pas le temps de savourer, j’ai de suite pris mes affaires de rechange et ma tente et je suis allé au camping (à 200 m) en poussant le vélo. Pas de chance il était tout juste midi passé et l’accueil était fermé entre midi et 15 h. Je suis allé me doucher quand même et me changer.

Puis retour au gymnase pour installer mon stand, retrouver des connaissances en guise de voisins de stand pour le week end.

Et c’est parti pour tout l’après midi avec un intermède montage de la tente vers 16 h. C’est vers 19h30 que j’ai terminé la journée. Quelques courses en vélo (ça m’a rajouté quelques kilomètres), le temps de manger. J’hésitais à profiter du fait qu’il fait jour tard pour aller grimper le col d’Azet (1580m) dont le départ est à Saint Lary. Mais alors que je m’apprêtais à y aller, mes voisins au camping étaient pas très loin et je suis allé leur dire bonjour. Ils étaient gersois et ils m’ont proposé de l’Armagnac et du Floc^^ Et voilà comment je me suis retrouvé à prendre l’apéro plutôt que d’aller grimper le col d’Azet^^

Après avoir bu, ce n’était pas une bonne idée d’aller pédaler, l’acide lactique aurait fait mal dans les cuisses. J’ai préféré en rester là pour aujourd’hui.

Ça fait une longue journée, mais avoir pu caser cette superbe sortie avant de commencer le travail c’était pas mal.

Au final ça me fait 70 km et 1900 m de D+ et pas de fatigue particulière dans l’après midi.

Bien content d’avoir enfin pu poser mes roues sur ces superbes routes !! Cette sortie restera parmi mes plus belles pour les paysages.

Demain, lever à 4h45 pour être sur le stand à 5 h du mat !! La journée sera longue, mais avec un peu de vélo aussi.

Le soir au camping.

(12 commentaires)

3 pings

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  1. Merci pour le vélo, il devait être content de monter là haut hi hi

    1. Ahahahaha 😀 Ouais !! Il m’a même laissé entendre que les Pyrénées étaient plus jolies que l’Auvergne :p 😀

  2. Ca se voit que ce n’est pas encore les vacances, en été ça grouille de voitures : en vélo c’est presque obligé de mettre pied à terre pour y monter.
    Tu as sûrement choisi la plus jolie des sorties que tu citais ! En 2 j’aurais mis le col d’Azet (pour le paysage).
    Il ne me reste que le col du Portet à faire (seulement fait à ski ^ ^)

    1. Les voitures sont interdites dans la journée.
      Oui c’est une route que je ne connaissais pas.
      Le col d’Azet je l’ai déjà monté par les 2 côtés mais je l’ai de nouveau grimpé le 3e jour où j’étais à Saint Lary. Et le 2e jour j’ai fait la montée à Piau Engaly et au Tunnel de Bielsa.

      Le col du Portet j’y étais allé en 2015, j’étais tenté là d’y retourner mais je n’avais pas le vélo adapté. Et comme en plus je n’aime pas trop la montée du Pla d’Adet, ça ne m’a pas trop dérangé.

    • cestdurlevelo on 7 juillet 2017 at 9 h 07 min
    • Répondre

    Juste sublimes, ces photos. Voilà un coin touristique et hautement connu, mais que tu as su déguster dans des conditions hors ‘foule’. Trop bien. Un coin que j’adorerais découvrir à vélo !!!

    1. Merci Baptiste 😉

      Oui très connu et assez paradoxal pour moi puisque c’est dans le département mais loin à distance en vélo (2 vallées à remonter et 1 col avant et 1 col après). L’occasion s’est bien présentée ce coup-ci, c’était top.

  3. Salut Idris ! Je n’ai pas de mot, c’est sublime ! Quelle sortie ! Si je devais aller dans les pyrénées, ce serait sûrement là !

    1. Salut Joris 🙂

      Merci 🙂 Ouais c’est superbe là bas, dépaysant 🙂

    • james on 17 juillet 2017 at 23 h 54 min
    • Répondre

    Superbe Idris, je me suis régalé.
    A défaut de compteur, je suppose que t’as un smartphone et donc tu peux enregistrer tes sorties 😉

    1. Merci James 🙂
      J’ai un smartphone depuis le mois de décembre seulement, mais c’est vrai que je ne l’ai jamais utilisé pour enregistrer une sortie.

    • charles b on 4 novembre 2022 at 20 h 01 min
    • Répondre

    Merci pour ce superbe reportage !!!
    Je suis allé une fois jusqu’au lac d’Oredon début mai, après c’était enneigé, donc retour là-bas dès que possible !
    Bien à toi,
    Charles

    1. Bonjour Charles,
      Merci pour ton message 🙂
      Effectivement début mai c’est encore encombré, d’autant plus que je ne pense pas que les chasses neige montent là haut.
      J’espère que tu pourras y retourner, il vaut mieux attendre le mois de juin pour être sûr que ça soit praticable 🙂
      Bon aprem !!

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