21 août 2017 (38e sortie) : col d’Aspin en coup de vent

Encore un col d’Aspin, hé oui, mais c’est encore une journée bizarre où j’ai essayé d’optimiser au mieux le temps.

Ce lundi après midi, je devais aller sur Bagnères pour le travail. Rendez-vous en début d’après midi, puis passage chez des amis pour les saluer et ensuite un peu de temps libre avant de devoir être aux Thermes de la Reine de Bagnères à 18 h pour présenter mon entreprise.

Grand ciel bleu sur les Pyrénées, je pars en vélo évidemment avec mon sac sur le dos.

Un plaisir de pédaler, petit arrêt pour caresser l’âne d’à côté. J’essaye de ne pas rouler trop fort histoire d’arriver à Bagnères sans transpirer. Tout se passe bien et ensuite quand je sors de chez les amis, il me reste 1h50 avant de devoir être aux Thermes.

Bonjour l’ami.

Ciel superbe sur les Pyrénées.

Et me voilà en train de partir en mode contre la montre. Bien sûr je suis en chemisette, bermuda et chaussures en toile.

Les jambes tournent bien, tant mieux car ça va être juste le timing.

Encore une fois je me retrouve à grimper le col d’Aspin (1490 m ) à bloc. Mais le sac est bien lourd et je le sens sur les épaules. Dommage car j’avais vraiment des bonnes jambes.

Le Montaigu.

Sainte Marie de Campan, au pied du col d’Aspin.

Le paysage est sublime, la vue sur le Pic du Midi en s’élevant au dessus de Payolle, c’est un régal. Et à chaque fois c’est le même plaisir, impossible de s’en lasser !!!

Et puis je suis bien content de l’avoir quand j’ai peu de temps comme ça.

J’arrive au sommet en 45 minutes.

Au sommet ce sont des espagnols qui me prennent en photo, nous discutons un peu. Ils sont barcelonais. Nous parlons un peu de l’attentat qui a eu lieu là bas quelques jours avant.

Une nouvelle fois au sommet, toujours le même plaisir. En chemisette et bermuda de nouveau ce coup-ci.

Le Pic du Midi depuis le sommet.

Vue sur la vallée d’Aure.

Mais je ne peux pas m’éterniser, l’heure tourne.

J’attaque la descente en me faisant bien plaisir. Il fait chaud pas besoin de coupe vent. J’avais rarement parcouru les 6 km entre Sainte Marie de Campan et Campan à cette vitesse !! Un peu après, à Asté je croise un ami qui se baladait à pied, petit arrêt pour se saluer, puis je déboule à Bagnères et j’arrive aux Thermes à 17h55, juste le temps de me passer de l’eau sur la figure et c’était bon. Super timing.

Payolle.

Et le soir, retour tranquille au coucher du soleil.

Encore un col d’Aspin du coup, mais content d’avoir pu au moins y aller.

Ce qui fait 100 km et 1500 m de D+ dans la journée de travail. C’est quand même agréable de pouvoir allier les deux et surtout de pouvoir grimper et être en forme juste en suivant pour le travail. Et ça fait un bien fou pour pouvoir se vider la tête !!

(2 commentaires)

    • EVERAERE on 21 octobre 2017 at 7 h 04 min
    • Répondre

    Bonjour Idris

    Je pense t »avoir croisé hier lors d’une sortie du CC NAY (vendredi 20 oct) entre AUBERTIN et LAROIN.
    ESt-ce que j’ai eu une hallucination ?

    Merci pour ton super blog que je consulte régulièrement comme celui de VELOBLAN d’ailleurs avec qui j’ai roulé sur le 1200 du massif central.

    Au plaisir

    1. Bonjour Jean-Louis,

      Je te rassure, tu n’as pas eu d’hallucination^^ J’ai bien roulé quelques kilomètres sur les routes béarnaises hier et notamment sur les coteaux de Jurançon.
      Je me souviens effectivement avoir croisé un groupe de cyclistes au début d’une petite côte (donc descente pour vous). J’étais sur Pau pour le travail le matin et en fin d’après midi et du coup en début d’après midi j’étais avec un ami qui me faisait découvrir quelques unes des belles routes du coin 🙂

      C’était une belle journée d’automne pour pédaler, j’ai apprécier et j’étais en forme ensuite en fin de journée sur Pau 😀

      Et bravo car ce n’est pas forcément facile de reconnaitre quelqu’un en vélo 😀

      Peut être nous recroiserons nous un jour !!

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