Pour ce dimanche 27 août, je suis de nouveau sur Bagnères pour un évènement le matin avec mon stand.
La météo est changeante avec des éclaircies et des nuages.
J’ai gardé l’après midi pour aller pédaler.
La matinée s’est super bien passée dans une très bonne ambiance. Quelques kilomètres en vélo tôt le amtin pour trouver un pique nique pour le midi.
Mais à 13h au moment où je rangeais mes affaires, une bonne averse s’est mise à tomber… Zut alors…
Mais en regardant vers les montagnes, les nuages semblaient plus lumineux…
J’avais envie d’aller à la Hourquette d’Ancizan (1564 m) en premier lieu puis éventuellement au col d’Aspin (1490 m) en suivant. Mais je me préparais déjà pour la Hourquette car j’avais envie de voir des ânes (hé oui…).
J’avais pensé à prendre un t-shirt histoire de ne pas grimper en chemise, par contre j’avais oublié mes baskets.
C’est en espérant passer entre les gouttes que j’ai enfourché le vélo. Et aussi avec une envie de faire la sieste… Tant pis, je dormirai plus tard. Mais du coup, la motivation n’est pas au max en partant.
Il fait chaud et humide dans l’air. La forme est toujours là, ça tourne bien.
Il y a beaucoup moins de voitures que ce que je craignais sur les routes.
A Sainte Marie de Campan, c’est parti pour l’ascension proprement dite. J’aime bien cette ambiance de ciel menaçant, de chaleur un étouffante et cette humidité.
La partie jusqu’à Payolle est vite passée. Le ciel s’éclaircit un peu plus en attaquant la suite vers la Hourquette. Les passages à 10 % et plus se passent bien.
Quel plaisir de me retrouver de nouveau dans ce grand décor somptueux dans la ligne droite du milieu de l’ascension. 2 mois que je n’avais plus été là.
Les vaches sont nombreuses mais pas trop gênantes encore.
Pas vu passer la suite de l’ascension, les derniers kilomètres à 8 % ne se sont pas trop sentis.
En arrivant au sommet, j’ai rencontré un gros groupe de cyclistes de l’Isère.
Supers sympas, nous avons pas mal discutés et ils m’ont pris en photo en haut en me convaincant de faire une photo stylée pour le fun, même si il ne s’agissait pas de ma première Hourquette 😀
Dans la descente, un des leurs prendra aussi des photos et ils m’enverront la mienne, super sympas.
J’ai hésité à descendre sur Ancizan pour revenir par le col d’Aspin versant Arreau mais le ciel était limite et je n’avais pas très envie de jouer à me retrouver sous l’orage dans l’autre vallée. Je préférais monter le col d’Aspin par Payolle comme ça si jamais l’orage éclatait, je n’avais plus qu’à descendre pour rentrer.
J’ai donc attaqué la descente sur Payolle.
J’étais content de voir quelques ânes, mais le gros du troupeau était plus loin.
A un moment dans la descente, il y avait des vaches des 2 côtés de la route et au moment où je déboule, elles se sont mises à venir vers le centre de la route des 2 côtés en même temps, fallait pas perdre de temps quand je suis passé^^
A Payolle, direction le col d’Aspin. Il reste 5 km à presque 8 % à grimper.
Les jambes sont toujours bonnes et je ne ressens pas de fatigue. Toujours le même plaisir à le grimper, je ne sais pas pourquoi.
Au sommet, la vue était sympa sur les sommets et la vallée d’Aure avec un ciel de plus en plus menaçant. Une atmosphère qui fait du bien, ça devenait électrique !!
J’ai vite attaqué la descente pour revenir sur Bagnères en roulant au max.
Et c’était juste à temps avec les premières gouttes qui sont tombées.
Voilà une bonne petite sortie après la matinée sur Bagnères pour ce dimanche.
75 km et 1700 m de D+.
Pour le mois d’août ça me fait 7 sorties en vélo, à chaque fois en coup de vent au milieu du travail, du coup je suis souvent allé au col d’Aspin, 7 fois ce mois-ci.
En tout cas je tiens une bonne forme et ça fait plaisir de pouvoir enchainer travail et vélo sans trop le ressentir.
Et très belle rencontre sympa au sommet de la Hourquette avec le groupe de cyclistes de l’Isère. Ils se sont fait un voyage dans les Pyrénées dont les photos sont visibles ici.
(4 commentaires)
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Comment tu fais pour rédiger un CR deux mois après la sortie ?
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En revoyant les photos, ça me remet en tête les détails. Après il y a des montées qui marquent plus que d’autres et dont je me souviens assez nettement et d’autres où c’est plus difficile. Et comme chaque contexte est assez différent entre les journées de travail, les sorties se retiennent plus facilement je trouve comme les sensations peuvent pas mal variées (type d’évènement pour le travail, fatigue générale ou pas, météo).
Mais malheureusement je n’ai pas eu le temps de les faire au fur et à mesure, c’était la course pour le travail ces derniers temps…
Tant mieux si t’as du boulot, tu pourras t’acheter une tenue de cycliste :))
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Ahahahaha 😀 Mais moi elle me va bien 😀 :p