Un dimanche ensoleillé, pas d’engagement pour C’Vital, pas de repas prévu avec les parents, pas de sortie prévue avec les amis, la copine qui n’est pas là, en gros j’ai la journée pour moi tout seul !!! Et ça c’est pas souvent que j’ai du matin au soir devant moi, et en plus ça tombe quand il fait beau et pas froid !!
Je prévois du coup une grande sortie à vélo. Il n’y a pas beaucoup de routes de haute montagne praticable encore forcément, mais les cols frontaliers sont en général dégagés régulièrement en fin d’hiver.
Et comme j’ai le temps ce coup-ci, je décide donc d’aller explorer des routes un peu lointaines depuis Tarbes et notamment le col du Pourtalet (1794 m) sur la frontière au fin fond de la vallée d’Ossau.
J’ai déjà eu l’occasion de pédaler dans cette vallée notamment au col de Marie Blanque ou encore au col d’Aubisque par Laruns, mais je n’ai jamais eu l’occasion de poser mes roues au sommet du col du Pourtalet.
Et pour cause, rien que pour arriver au pied à Laruns, il y a 70 km sur un terrain très vallonné avant une ascension de 29 kilomètres jusqu’à la frontière avec l’Espagne.
Ce qui fait donc 200 km aller retour pour plus de 3000 m de D+.
A ce stade de l’année ça va faire une sacrée bonne sortie.
Je suis super motivé. Mais sur une sortie comme ça où tu n’es pas sûr de ta forme, il vaut mieux un plan B car si je suis cramé, ça peut vite devenir une galère monumentale et physiquement difficile, et le lendemain il y a la journée de travail où il faut être opérationnel.
Du coup le plan B si je n’ai plus les jambes, ce sera de prendre le train à Nay au retour pour rejoindre Tarbes et ainsi éviter les côtes de Bénéjacq et de Pontacq qui peuvent faire très mal aux jambes en fin de sortie.
Dans ce cas là, ça ferait une sortie de 165 km tout de même.
Le moment de se lever le matin tôt a été laborieux déjà^^ La veille je suis rentré tard d’un évènement sur Pontacq. Mais quand tu vois le soleil et la motivation qui est là, pas de soucis.
Il fait un peu frais de bon matin, je décide de mettre ma veste thermique. Dans le sac, de quoi manger, réparer, 2 bouteilles d’eau, k-way, gants longs au cas où, écharpe, batterie externe pour charger le téléphone qui fait des siennes et ne tient pas longtemps, ça pèse un peu quoi.
C’est parti !!
Pas grand monde en quittant Tarbes. D’abord des lignes droites pas super agréables vers Juillan puis Ossun. Mais une fois l’aéroport passé, c’est parti sur des routes plus agréables !
Et dès la sortie de Ossun, la première côte se dresse. Oh pas grand chose, moins de 3 km de montée mais avec des passages allant jusqu’à 11 % à un moment et de longues portions entre 8 et 9 %, je vais être fixé sur mes jambes !
Et….elles ne sont pas bonnes. Je me disais de passer cette côte tout doux en dedans, mais je réalise de suite que je ne suis pas en jambes, je l’ai passé encore moins vite que ce que je pensais et je me sentais en prise…
Zut, zut et rezut, si il y avait bien un jour où j’avais envie d’avoir des bonnes jambes c’était bien aujourd’hui… Tant pis on va faire avec…
Une fois en haut sur la crête il y a un peu de vent qui souffle… ça ne me rend pas optimiste pour le moment où j’arriverai dans la vallée d’Ossau…
Je passe dans le département des Pyrénées Atlantiques et la région Aquitaine.
Descente sur Pontacq ensuite. Seulement 20 km parcourus et je ne me sens pas en grande forme…
Je suis encore à 50 km du pied de l’ascension…
Après Pontacq, c’est la côte de Bénéjacq qui se dresse. Les jambes ne sont pas mieux. Mais au moins la route est tranquille et vraiment agréable !!
Quelle chance de pédaler là !
Bénéjacq annonce la proximité de Nay. Dans la tête c’est un bon bout de fait.
Direction Asson maintenant sur une route un peu vallonnée. Ça va continuer entre alternance de faux plat montant et descendant pendant de nombreux kilomètres. Bruges-Capbis-Mifaget est passé, peut être que je ferai escale chez une copine ici au retour.
Je commence à avoir faim et chaud. Je me dis que je ferai un arrêt pour enlever la veste thermique et manger un peu une fois que je serai à Louvie Juzon qui se trouve dans la vallée d’Ossau. D’après moi je suis à 8 km de ce village, mais au fur et à mesure que j’avance, que je monte et descends, j’ai l’impression qu’il s’éloigne et c’est après 6 km supplémentaire par rapport à ce que je pensais que j’arrive à Louvie Juzon après une bonne descente qu’il faudra remonter après.
J’enlève la veste thermique pour continuer en manches courtes, je mange 2 pâtes de fruit, remets mon sac sur les épaules et c’est reparti. La circulation est rendue compliqué car il y a un triathlon qui se dispute en même temps et les participants en sont à la partie vélo et se dirige vers le fond de la vallée aussi. Encore les participants ça va, mais beaucoup de coitures (sûrement les familles) s’arrêtent n’importe où freinent brutalement pour stopper, c’est pas super agréable…
Et pour couronner le tout, dans la vallée d’Ossau, comme je le pressentait, le vent de face souffle fort… ça ne va pas faire les affaires de mes jambes tout ça^^
Dans les 14 km sur la grande route en direction de Laruns, j’ai l’impression d’être un peu scotché, en plus ce sont des longues lignes droites en faux plat.
C’est entre soulagement et un peu d’appréhension que j’atteins Laruns. Je traverse le village tout en montée vers le centre avant de redescendre légèrement de l’autre côté.
Et c’est parti, j’aperçois devant moi la bifurcation avec la route du col d’Aubisque (1709 m) sur la gauche. Il est encore fermé mais le triathlon va sur ses pentes à Gourette. Pour ma part je continue tout droit, direction l’Espagne !
Sitôt passé la bifurcation avec l’agitation des spectateurs de la course, je me retrouve dans un silence et une tranquillité appréciable. Et surtout, 29 km de montée devant moi !
Ça fait déjà 70 km et près de 1000 m de D+. Il n’y a pas de panneau ni même de borne régulière, du coup je suis l’avancée du kilométrage sur mon compteur.
Le col du Pourtalet culmine à 1794 m d’altitude sur la frontière espagnole. C’est une découverte pour moi. Sa pente moyenne est de 4,5 % sur 29 km mais il est en réalité très irrégulier avec un début roulant suivi d’une portion de 9 km à près de 7 % et des passages allant jusqu’à 11 % suivi d’un replat de 3 km au niveau du lac avant que la pente ne reprenne sur du 7 % dans le final.
Mais c’est bien sa longueur qui va faire la difficulté et je vais vraiment le sentir passer ce col du Pourtalet.
Je ne suis pas en jambes avec les kilomètres accumulés qui pèsent dans les jambes, je table sur plus de 2 h bien passées d’ascension…
Heureusement que le début n’est pas très raide pour essayer de trouver un rythme régulier tranquille.
Les premiers kilomètres me font rentrer dans des gorges étroites et profondes, c’est impressionnant ! Je me sens tout petit dans ce décor, c’est splendide. Mais du coup je suis dans une zone à l’ombre, la température chute et pour couronner le tout, le signal GPS de mon compteur ne passe plus et je n’ai donc plus d’indication ni de vitesse ni de distance pendant plusieurs kilomètres. Voilà de quoi me mettre complètement dans l’inconnue du kilométrage restant avant le sommet.
Les minutes et les kilomètres défilent sur de longues lignes droites et courbes avec un paysage changeant, de la roche des gorges du début à la forêt, aux portions qui semblent plus humides et encaissées.
Après je ne sais pas combien de kilomètres, la pente s’est accentuée nettement, visuellement ça n’en donnait pas l’impression mais dans les jambes ça se sent. Il y avait très peu de monde et j’ai été surpris de rattraper 2 cyclistes devant moi alors que je n’allais pas très vite.
Les passages à 11 % alternent avec des passages à 6 ou 7 %, mais je ne dois en être qu’à la moitié de l’ascension. Ça devient dur. Et je me décide à passer le petit plateau. Ça faisait longtemps que je ne l’avais pas passer sur des pentes à 7 %.
Je passe devant une centrale hydroélectrique. C’est le signe que je vais aborder le replat qui va longer le lac juste après.
Ça ne va pas me faire de mal !
Pendant plusieurs kilomètres la pente est douce mais à ce stade les jambes travaillent quand même sur cette partie…
Les points de vue sur le lac sont superbes et je repère les endroits où je compte m’arrêter dans la descente pour prendre des photos.
La pente reprend ses droits ensuite et je me retrouve devant une interminable ligne droite avec quelques courbes qui longent le versant de la montagne, ce qui donne un lointain point de vue sur ce qu’il reste à grimper. Des kilomètres de ligne droite qui montent, qui montent à travers les paysages enneigés.
Là pour le coup c’est terrible, je n’en vois pas le bout et vu que je ne vais pas vite… Je n’ai pas de repère précis du kilométrage qu’il me reste mais je me doute que je suis quand même dans les 8 derniers kilomètres. Peut être même moins.
Je fixe le bout de la ligne droite en me demandant si c’est le sommet au moment où je vois la route disparaitre dans le massif. Je l’espère vraiment !
Mais qu’est ce que c’est beau quand même !!
Malheureusement pour mes jambes, quand j’arrive au bout de ces interminables kilomètres c’est pour aborder de larges courbes et virages qui permettent de se frayer un chemin entre les massifs rocheux pour déboucher…devant une nouvelle longue ligne droite…
Cependant, au loin j’aperçois des voitures garées, ça doit être le sommet !! Je continue de grimper, le Pic du Midi d’Ossau (2884 m) (à ne pas confondre avec le Pic du Midi de Bigorre qui est dans les Hautes Pyrénées à 2872 m et que je prends habituellement en photo) est à me droite, splendide, si proche, on a l’impression de pouvoir le toucher. Je continue d’avancer, je vois de nombreuses personnes qui font du ski et de la luge sur le talus qui semble aller directement sur le pic du Midi d’Ossau.
Mais en fait il y a une multitude de voitures !! Je n’avais pas l’impression qu’il y avait beaucoup de circulation mais vu que ça fait plus de 2 h que je monte, au final ça en fait des voitures que j’ai vu passer…
Et du coup les voitures sont garées plus d’un kilomètre avant le sommet. Ce sommet qui semble toujours inatteignable et donne l’impression de s’éloigner toujours plus. Et c’est donc au milieu des voitures garées que je parcours peut être les 2 derniers kilomètres d’ascension….
J’arrive enfin devant un premier bâtiment, un hôtel, bar, restaurant. Je continue pour atteindre les autres bâtiments et passer la frontière.
J’arrive au panneau marquant le sommet. Je descends du vélo, je suis presque en train d’avoir une crampe. Je m’assois sur le muret. Ben dis donc… ça fait seulement 100 km parcourus depuis le départ avec plus de 2000 m de D+. Dès le départ j’avais senti que je n’étais pas en jambes, dès la première petite côte et j’ai quand même poursuivi…
Evidemment, cramé comme je suis, je vais actionner le plan B et prendre le train à Nay pour rentrer sur Tarbes et éviter les côtes finales. Mais d’ici, je suis encore à 65 km de Nay avec quelques bonnes côtes qui m’attendent…
Je sors mon téléphone pour prendre des photos au sommet. Mais il n’y a presque plus de batterie… décidément…
Je sors ma batterie externe mais depuis plusieurs semaines c’est la galère pour charger mon téléphone si je ne tiens pas le câble en appuyant, ça ne charge pas. Alors je passe juste quelques minutes histoire d’avoir de quoi prendre quelques photos.
Il commence à faire sacrément froid. Un vent glacial souffle au sommet et je suis toujours en manches courtes…
Je mets ma veste thermique et je décide d’aller dans le bar que j’avais vu au début pour prendre un verre et me poser.
L’occasion de me retrouver pendant quelques minutes confortablement installé dans un super fauteuil à siroter une limonade et à tenter d’arriver à charger un peu de batterie de mon téléphone. Mais je ne pourrai presque pas prendre de photos dans la descente malheureusement…
Les minutes passent et il faut bien repartir.
Je range ma batterie externe et j’enfourche de nouveau le vélo. C’est parti pour la descente. On pourrait penser que 29 km de descente c’est génial, mais au final c’est très irrégulier et la majeure partie de la descente ne permet pas de prendre de la vitesse et oblige à pédaler et comme j’ai plus rien dans les jambes, il y a des portions où je dépasse à peine les 30 km/h… Le long du lac c’est plat et après avoir redémarré mon téléphone, le temps de prendre 1 photo, je pédale sur ces kilomètres de plat à seulement 22 km/h…
ça parait long cette descente… Je me laisse aller, je suis complètement carbonisé.
Une fois en bas à Laruns, je vais devant l’ancienne gare où a eu lieu l’arrivée de l’étape du Tour de France l’an dernier. Des grandes banderoles et des vélos géants décorent les murs. Je m’assois pour manger un peu. Il fait chaud, le soleil brille, c’est quand même agréable.
Mais je ne m’attarde pas, la gare de Nay est encore à près de 36 km et ce ne sera pas tout plat non plus…
C’est reparti. D’abord les longues lignes droites pour quitter Laruns, heureusement, globalement c’est en faux plat descendant. Louvie Juzon, c’est parti pour un bon kilomètre avec des passages à plus de 10 % pour traverser et quitter le village. Je mets tout à gauche. Et finalement ça passe mieux que ce que je craignais.
La suite se fait sur une petite route encaissée et vallonnée pour retomber sur Bruges Capbis Mifaget, plus que 10 km avant Nay. Encore une côte pour quitter Asson, ça parait interminable ces derniers kilomètres. Mais quel soulagement d’arriver à Nay. Direction la gare.
Et là….je vois que le prochain train pour Tarbes est dans 1h35 !!! J’hésite… Je suis à 40 km de Tarbes mais il y a aussi 2 bonnes côtes à passer… Non je suis vraiment cramé, je vais plutôt attendre le train, c’est que le lendemain il faudra être en forme au travail aussi.
On est dimanche après midi, il n’y a rien d’ouvert à Nay pour prendre un verre. Je vais donc faire la sieste à la gare de Nay.
A la fin, pas fâché d’en finir, j’ai vraiment fini au bout du rouleau pour les jambes.
Mais c’est une belle sortie tout de même avec 165 km et 2500 m de D+ et la découverte d’un col que je ne connaissais pas encore. Et puis monter à 1794 m d’altitude en mars, c’est quand même cool 🙂
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Hello Idris – très belle sortie surtout pour un mois de Mars, c’est sympa ces paysages enneigés en début d’année. ça m’a rappelé des sacrés souvenirs. J’ai aussi découvert le Pourtalet l’année dernière en souffrant autant que toi. Je l’avais fait (stupidement lol) un après midi après un Aubisque le matin et j’étais complètement cramé au bout de 10km. En plus c’est le type de col que sportivement je n’aime pas du tout. C’est long, long, beaucoup trop long, ce n’est pas assez pentu du coup sur ces pentes à 3-5% dans les longues lignes droites quand on manque de puissance on a l’impression d’être complètement scotché à la route et de ne pas avancer. Et en plus, comme tu le dis dans cette ****** de descente, il faut pédaler et pas qu’un peu. Heureusement j’avais un hôtel à Laruns, je ne pense pas que j’aurais pu faire quelques km de plus. J’espère que tes jambes reviennent doucement avec le beau temps. A bientôt. vincent.
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Salut Vincent 🙂
Ouais c’est un col particulier, le profil n’est pas super, par contre niveau paysage, c’était pas mal 🙂
Ouais là les jambes sont revenues, depuis mi avril j’ai pu aller pas mal de fois au col du Tourmalet et faire des enchainements c’est plutôt cool, mais l’été a du mal à s’installer durablement quand même…
J’espère que tu vas bien de ton côté !
A bientôt ! 🙂
Salut Idris – perso je suis très en retard sur ma saison de vélo, il faut dire qu’en plus du boulot j’ai repris mon sport de jeunesse (le ping pong) que j’avais arrêté quand j’ai commencé à bosser et que j’ai donné priorité au ping jusqu’à fin mai + j’ai commencé à faire des raquettes cet hiver (je ne sais pas si tu as déjà essayé mais c’est vraiment sympa tu découvres des paysages que tu n’as pas pendant l’été et si tu fais du dénivelé, c’est vraiment du sport, je suis sûr que ça te plairait). Mais du coup je n’ai pas de vélo du tout entre fin octobre et avril !(. Rajoute à ça quelques soucis de santé et les premières sorties ont été difficiles :).
Mais là j’en ai eu vraiment marre et j’ai décidé de faire une grosse pause boulot (3 mois de vacances) et c’est priorité vélo jusqu’à septembre avec dans un coin de ma tête l’objectif des cinglés du ventoux quand j’aurai retrouvé les jambes.
J’ai une semaine prévue dans les pyrénées vers Bourg-Madame fin août, je ne sais pas si je ferai un tour dans les Hautes-Pyrénées avant ou après, mais si c’est le cas je te ferai signe. Et de ton côté, pas de voyage vers Grenoble de prévu cette année ?
A bientôt j’espère :). Vincent.
Author
Salut Vincent,
Ah oui effectivement ! 6 mois sans vélo !!
Content de lire que tu as repris le vélo et j’espère que tes soucis de santé n’ont pas été trop grave.
Bel objectif les cinglés du Ventoux et une sacrée expérience 🙂
Pour ma part, j’aimerais bien pouvoir prendre 3 mois pour couper mais malheureusement c’est utopique à cet instant, cette année ce sera juste…1 semaine de vacances pour moi et effectivement je passerai dans les Alpes. Je ferai escale à Grenoble un soir chez ma marraine (à Sassenage) mais malheureusement je ne resterai pas sur Grenoble car j’arriverai de Romans sur Isère ce jour là (mardi 30 juillet) et j’irai plutôt du côté de la Savoie dès le lendemain matin tôt. C’est bien dommage que je n’aie pas plus de temps car j’aurais bien aimé faire 2 semaines alpestres, peut être l’année prochaine du coup…
Avec grand plaisir si tu passes dans les Hautes Pyrénées en août pour faire une sortie 🙂
Pour les raquettes j’en fais quelques fois en hiver (, pas cette année mais l’an dernier j’en avais fait à 2 reprises du côté des Palomières et de Payolle aussi, c’est sympa c’est clair mais bon, je préfère quand même le vélo, même en hiver xD
A bientôt et on se tient au courant pour nos voyages 🙂
Hello Idris – Romans à Sassenage tu passes par le Vercors ? Si oui, fais attention aux tunnels sans lumière 🙂
Fais moi signe si tu changes d’avis et que tu passes une journée sur Grenoble finalement – y’a de quoi faire dans le coin – et dans les tous les cas profite bien de la savoie :). Tu vas où ? Maurienne ? Tarentaise ?
A bientôt
Vincent
Author
Salut Vincent,
Oui je passerai par le Vercors, d’après ce que j’ai vu les tunnels ne sont pas trop longs, il y a une partie avec 3 tunnels successifs mais courts a priori.
Normalement je ne serai que de passage à Grenoble, je n’ai qu’une semaine, du coup tout sera minuté, pour la Savoie je ferai un passage en Maurienne pour retomber sur l’Oisans ensuite 🙂
[…] 165 km – 2500 m de D+ – Pourtalet – 24 mars […]