30 janvier 2018 (4e sortie) : col des Palomières, chute à 55 km/h, couret d’Asque et col des Palomières

Soleil sur les Pyrénées (hormis un brouillard matinal en plaine bien froid) et rendez-vous dans les Baronnies en début d’après midi pour le travail.

Forcément je suis tenté d’y aller en vélo. Et si possible, si ça ne se finit pas trop tard, j’irai bienr ajouter quelques kilomètres histoire d’aligner encore quelques kilomètres et pourquoi pas faire une sortie pas loin de 100 km, mais ça dépendra de l’horaire car la nuit tombe tôt.

Le matin je suis en fabrication, je suis un peu juste et je pars avec une vingtaine de minutes de retard… Au moment de partir, j’ai hésité à prendre le vélo de route car il a les pneus lisses et ça fait déjà plusieurs mois que je dois les changer, je les ai mais je n’ai pas encore pris le temps de le faire. Je voulais prendre le Ridgeback, les pneus sont en bon état, mais malheureusement j’étais en retard et j’ai opté pour le vélo de route du coup…

Une fois sorti du brouillard matinal en plaine, je me suis retrouvé au soleil en direction de Bagnères, c’était fort agréable, un vrai plaisir. Pour se vider la tête il n’y a pas mieux.

Les jambes étaient plutôt bonnes, et j’ai bien roulé par rapport à ce que je pensais. Je n’ai pas pris beaucoup de photos, il valait mieux que je trace. Je devais être au sommet du col des Palomières à 13h30 pour retrouver une copine qui vient au même rendez-vous, afin de lui indiquer le chemin sur la fin du parcours.

J’arrive à Bagnères vers 13h20 et j’attaque illico le col des Palomières (810 m), c’est bon je ne serai pas trop en retard. J’attaque la montée, les jambes tournent bien, c’est top. J’essaye de rester en dedans quand même pour ne pas arriver tout transpirant au sommet.

La vue sur le Pic du Midi était superbe à mi-pente, un régal.

A la moitié de l’ascension à l’amorce des lacets à 10 %, la copine m’a dépassé en voiture, c’est bon je ne serai pas trop en retard.

Je suis arrivé au sommet en 16min30, plutôt content pour le mois de janvier et sans être à fond, la forme progresse petit à petit, c’est encourageant pour les prochaines semaines…enfin c’est ce que je pensais…

Au sommet nous restons quelques minutes à admirer le paysage, une petite photo?

Vue depuis le sommet du col des Palomières.

Puis c’est parti pour la descente. En mode tranquille à cause du froid.

Il fait de suite plus froid côté Baronnies, c’est moins agréable.

Tout va bien je laisse aller, puis après une rampe un peu plus raide j’arrive au 2eme virage à gauche, la zone de freinage se retrouve sous les arbres, d’un seul coup la route est mouillée. Et là tout va très vite…

J’étais à 55 km/h et dès le début du freinage j’ai l’arrière qui s’échappe vers la droite, je redresse en relâchant les freins du coup, mais je savais déjà que c’était trop tard, le freinage retardé, je me retrouve trop vite, il y a un peu de boue en fond de virage, je penche le vélo à l’amorce du virage, l’arrière repart et me voilà au sol en train de glisser sur le goudron.

Pendant les quelques secondes où j’ai glissé et gratté le goudron, j’ai de suite pensé à la peinture du vélo, c’est que c’est le vélo avec la déco personnalisée !!

Je me suis relevé immédiatement et me suis mis à inspecter la peinture du cadre. Ouf, aucune égratignure sur le cadre. La guidoline est légèrement sali par la boue sur le guidon gauche mais même pas arrachée. Et c’est tout, ça a été le seul point de contact du vélo sur le sol. Et pour cause, c’est moi qui ai protégé le vélo mais sur le moment je ne m’en suis pas rendu compte. J’ai bien vu que mon poignet et ma main gauche avaient bien gratté le goudron et protégé le guidon, heureusement que j’avais les gants d’hiver parce que j’aurais pu me faire très mal à la main comme ça m’était arrivé dans la descente du col du Glandon il y a quelques années.

Quelques secondes après, la copine est arrivée en voiture, elle a pu me donner un mouchoir pour m’essuyer les mains et le vélo.

C’est reparti, c’est que mine de rien l’heure tournait. Et j’ai juste oublié d’inspecter les dégâts sur moi en fait…

J’avais fait un plat sur le pneu en perdant l’arrière, du coup au virage suivant, à très faible allure, j’avais l’impression de reperdre l’arrière. Je me suis demandé si ce n’était pas la boue qui faisait ça aussi, du coup arrêt pour essuyer le pneu arrière (heureusement qu’elle avait des mouchoirs).

Puis en repartant, tout d’un coup c’est la chaine qui a sauté complètement, heureusement c’était à l’extérieur, un petit tour de pédale pour remettre tout ça, léger faux plat montant en redémarrant, j’étais tout à droite, outch^^

Un peu plus bas dans la descente, il y avait un cheval, je me suis arrêté pour le prendre en photo et en repartant (j’étais presque à la fin de la descente), il y a un bruit et un frottement sur l’arrière…

Descente sur Marsas, quelques minutes après la chute…

Je m’arrête en bas de la descente et en fait une ronce s’était emberlificotée dans le dérailleur^^ Décidément cette descente a mis du temps à se terminer. C’est là en enlevant la ronce, que la copine me fait remarquer que je suis blessé au genou (j’avais oublié une grosse précision, j’étais en short bien évidemment).

Je regarde, et j’étais persuadé que c’était de la boue. Mais elle me certifie que c’est rouge (je suis daltonien), je regarde plus en détail et effectivement j’ai mis le doigt dessus, ça faisait super mal…

Bon tant pis, sans toucher je ne ressentais pas de douleur encore. Nous n’étions plus qu’à 3 km du lieu du rendez-vous, nous repartons. Le dernier kilomètre grimpe assez raide et je sentais surtout que j’avais le dos en vrac.

Pendant le rendez-vous j’ai pu désinfecter le genou et au fil des heures, ça s’est mis à piquer très fort une fois que j’étais refroidi et là c’était galère, j’étais pourtant immobile et ça faisait très mal, en plus de ça, j’avais le sang qui coulait dans mes chaussettes…

C’est dommage car à part ça j’avais des bonnes jambes, je commençais à me demander si j’allais pouvoir me faire la sortie de 100 km en suivant…

Mais ça a été vite tranché puisque le rendez-vous a duré plus longtemps que prévu et c’est vers 17h15 que je suis parti avec un pansement de fortune sur le genou. C’est que pour rentrer il y a encore des kilomètres et la nuit approche. Mais je vais quand même aller faire un détour par le Couret d’Asque histoire de faire une montée de plus avant de reprendre le col des Palomières.

Le Couret d’Asque n’est pas très raide et fait un peu plus de 4 km de montée, j’aime beaucoup cette route et en cette fin d ejournée d’hiver, les couleurs étaient superbes, j’ai pris pas mal de photos. Les jambes tournaient bien, par contre quand j’étais debout sur les pédales, si j’avais le vélo légèrement penché de droite à gauche, j’avais très mal sur les ligaments du genou gauche et je devais me rassoir sur le vélo… Ben zut alors…

Couleurs superbes dans le Couret d’Asque !!

Au sommet du couret d’Asque, le jour tombe et je en suis pas arrivé encore…

Je commençais à me dire que je faisais une grosse connerie en me rajoutant le Couret d’Asque, mais à vrai dire je n’avais pas vraiment réalisé l’étendue de la plaie. J’étais encore trop pris par les kilomètres à aligner.

Le jour commençait déjà à tomber quand j’étais au sommet du Couret d’Asque et la douleur se faisait plus forte et là je commençais à me traiter de tous les noms tout seul, en me disant que c’était tellement stupide cette chute et qu’en plus je vais me retrouver à pédaler de nuit….sans éclairage….pour rentrer… Quel timing pourri, moi qui fais super gaffe à ce genre de choses en général (mais là j’ai complètement oublié mon éclairage qui était sur un autre vélo).

Et pour couronner le tout, j’avais super faim et oublié mon ravito, juste un peu distrait sur le coup. Bon bé y a plus qu’à se coltiner le col des Palomières en roulant au max mais ça sent la fringale à tous les coups cette histoire…

Me revoici au pied des Palomières et j’opte pour faire l’ascension par Banios pour changer. Il y en a pour 8 km à peu près d’ascension. J’avais faim avant même de m’y attaquer et l’énergie se vidait à vue d’oeil, mais où avais-je la tête en partant !! La partie raide à la sortie de Banios a fini de me couper les jambes, en plus je ne pouvais pas me mettre debout sur les pédales, ça faisait trop mal, je commençais à me demander comment j’avais fait pour me retrouver dans cette situation…

Bon bé du coup j’étais en mode moulin à café tout à gauche pour finir l’ascension, ça n’allait plus très vite…et le jour qui tombait…

Bien content d’arriver au sommet, je m’en souviendrai des 2 ascensions des Palomières de ce jour…

Bonne fringale dans celui là…

Vue superbe depuis le sommet !

Dans la descente, le Pic du Midi, superbe.

Me voilà parti pour la descente, pas de temps à perdre, je me lance à corps perdu dans la descente, aucune appréhension suite à la chute, c’est déjà ça, j’ai même pas réfléchi et j’ai déboulé à grande vitesse sur Bagnères. Le retour dans la plaine a paru un peu long, il faisait vraiment très sombre et je pense qu’on peut considérer que j’ai fait les 7 derniers kilomètres dans la nuit… Et en plus ajouté à cela le froid qu’il faisait puisqu’il ne faisait plus que 1°C…

C’est râpé pour les 100 km… Je termine du coup avec 70 km et 1300 m de D+. 2 Palomières et 1 Couret d’Asque que je me suis rajouté…

En rentrant je tremblais de froid et j’avais vraiment très faim…

Mais première chose à faire…la douche… Entre la douleur en remontant en température et la plaie sur le genou, outch !!

Bon alors du coup en gros, j’ai une seule blessure au genou gauche, une bonne grosse plaie bien étendue pile sur l’articulation du genou… C’est toujours ce genre de plaie qui fait super mal…

J’ai suivi les conseils d’une copine qui a de très bonnes notions d’infirmière, ça a saigné la première nuit et c’est parti pour un petit chemin de croix.

J’avais beau avoir un pansement et plusieurs épaisseurs de bandage dessus, le frottement du pantalon sur le pansement faisait trop mal… Résultat me voici condamné à rester en short…

ça a duré 1 semaine, pas le meilleur moment avec la neige et la pluie, certains jours où j’ai passé des longues journées entièrement dehors, c’était dur, je rentrais en tremblant de froid…

J’ai enchainé plusieurs nuits blanches à cause de la douleur et j’avais très mal en permanence avec des élancements aigus presque tout le temps la première semaine.

6 jours après la chute…

L’entourage m’a presque forcé à aller voir un médecin… Je n’avais plus de médecin traitant depuis qu’il était parti à la retraite depuis assez longtemps (je n’ai pas eu à aller voir un médecin depuis 2009), et c’est donc 6 jours après la chute que j’en ai vu un… Et là je me suis retrouvé avec une semaine de béquilles et des pansements cicatrisants. Objectif ne plus plier le genou parce que sinon à chaque fois que je me déplace j’étire de nouveau la plaie et ça fait super mal.

Flocons de neige et verglas partout par terre…

C’était galère pour le travail puisque je me suis retrouvé sur du verglas et de la neige cette semaine là, mais j’ai réussi à ne pas me recasser la figure (moi qui n’aime pas les sports d’hiver en plus…on pourrait mettre dans cette catégorie les béquilles sur la neige).

C’est après 12 jours que la douleur permanente a commencé à baisser et à s’estomper, c’était déjà un soulagement. La moitié de la plaie était cicatrisée à ce stade, mais les jours suivants ça a refait régulièrement mal et la cicatrisation n’a pas du tout avancé. Là depuis le 19 février, la douleur a de nouveau bien baissé, mais ça fait maintenant 10 jours que la cicatrisation n’a plus avancé… Mais heureusement que j’ai des bons conseils à côté, j’aurais sûrement fait n’importe quoi^^

Au final ça fait donc depuis le 30 janvier que je suis sur le carreau.

C’est ma 2eme chute à grande vitesse après celle du 15 août 2013 à 65 km/h dans la descente du col du Glandon. A l’époque j’avais fini aux urgences et j’avais eu beaucoup plus de blessures (2 trous dans le genou, points de suture au menton, trace sur le front, main gauche épluchée à vif, bras droit complètement égratigné, une énorme plaie dans la hanche droite) mais j’avais pu reprendre le vélo assez vite en mode warrior, je m’étais d’ailleurs fait un super enchainement Croix de Fer / Madeleine 16 jours après, avec toute ma pharmacie dans le sac.

Là ce coup-ci, c’était pas vraiment envisageable, c’est curieux…

ça faisait 3 ans que je n’étais plus tombé en vélo, ça remet les idées en place.

Mais ma plus grande déception avec cette chute, outre la privation du vélo et la douleur, c’est surtout que je vais avoir une cicatrice du col des Palomières… J’aurais tant aimé que ce soit le col d’Aspin ou le col du Tourmalet, un lieu plus classe quoi… En plus 3 jours avant je suis allé au col d’Aspin sous la neige avec les mêmes pneus lisses avec 10 fois plus de risques de tomber, mais non…

Autant en 2013, c’était vraiment la classe, un endroit mythique, vertigineux avec le Mont Blanc en toile de fond, mais là… En plus c’est rageant car la cicatrice est juste super bien placée juste en dessous de celle de 2013, elles ne se superposent pas, c’était l’endroit réservé à un autre nom mythique^^

Et il y a cette phrase que je m’étais dite en sortant des urgences d’Albertville ce jeudi 15 août 2013 : « C’est quand même bien plus classe de tomber dans la descente du col du Glandon avec le Mont Blanc comme décor, plutôt que de tomber dans le col des Palomières ! »

Mais pourquoi j’ai dit ça à l’époque ?!!! ça me poursuivra longtemps ça…

Quant aux fameux pneus lisses, je ne sais pas si c’est la cause, mais dès le lendemain je les ai changés…

Changement des pneus dès le lendemain de la chute…

(10 commentaires)

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    • Pascal on 24 février 2018 at 18 h 33 min
    • Répondre

    Bonjour Idris ,
    Je viens de lire ton dernier exploit !J’ espère tout de même que ça va aller !Te connaissant un petit peu ,
    avec la hargne que tu as en toi tu vas vite refaire surface .Du coup moi qui pensais sortir ce jour vu les températures fraiches et ton exploit ça m’a refroidi …c’est le cas de le dire ! Je suis peut-être trop prudent
    ou méfiant vu l’ âge . Bon je te laisse et bonne convalo et fais tout de même très attention à cette saison
    ce n’ est pas l’été !
    Bien cordialement . Pascal

    1. Salut Pascal 🙂

      Merci pour ton message 🙂

      J’espérais reprendre le vélo hier après le travail mais j’ai finalement été raisonnable, mon genou n’est pas complètement cicatrisé encore…

      Du coup je suis toujours sur le carreau et je vais terminer le mois de février avec zéro kilomètre au compteur…
      Là je douille encore mais c’est vrai que je préfère avoir ça maintenant plutôt qu’en plein été…

      A bientôt.

  1. Salut Idris,
    Le vélo en hiver est un sport d’hiver ! 😉
    Bises et tiens-moi au courant quand tu seras remonté en selle…

    1. Salut Joris 🙂

      Oui c’est pas faux remarque 😀

      Pour le moment aucune reprise 🙁 Je vais finir le mois de février avec zéro kilomètre au compteur, ça fout les boules !! Samedi j’étais pas loin, j’avais le vélo avec moi pendant la matinée à Bagnères, il faisait froid mais grand soleil mais j’ai choisi d’être raisonnable, la cicatrisation n’est pas terminée et j’ai encore mal…
      Cette semaine ce n’est pas envisageable, j’espère que celle d’après ce sera entièrement cicatrisé mais de toute façon ce sera trop chargé avec des évènements, du coup à mon avis ma sortie de reprise sera au mieux le 17 mars… si tout est effectivement cicatrisé…

    • JEROME ROUQUET on 3 mars 2018 at 0 h 27 min
    • Répondre

    Salut Idris

    Voila je viens de « dévorer » tes multiples exploits . Je dois avouer que plusieurs sentiments me traversent l’esprit . Tout d’abord merci de m’avoir fait rever, découvrir de multiples paysages et j’irais même jusqu’à dire que je m’y suis tellement cru que j’en ai presque mal aux jambes . Avant de continuer je voulais quand même te dire que je suis également fondu de vélo (remarque c’est une évidence si non que pourrais-je bien faire sur ton site) je fais des courses, des cyclos, des randonnées avec des collègues, tout seul , en groupe … bref j’adore toutes les facettes de cet engin de torture (de plus on est quasi voisin car j’habite en Béarn vers Navarrenx) . Voila tu as une petite idée du personnage qui t’écrit .
    Bon revenons à nos moutons . Dans les sentiments que je ressents il y a cette impression d’avoir en face de soi l’incarnation même de ce que le cycliste représente à mes yeux : le courage, cette sur dose de folie (qui fait que le commun des mortels ne peut pas nous comprendre) cette abnégation, cette résistance à la douleur bref toutes ces choses qui font que ce type qui réalise ces exploits est supérieur à beaucoup d’entre nous !!! En effet, je suis en admiration devant ce que tu peux faire ; oh c’est clair, il n’y a rien de surhumain pour un cycliste régulier mais les conditions dans lesquelles tu les réalise !!!!! En effet, la météo peut être le pire des ennemis et toi tu la dompte sans problème, ta tenue vestimentaire (un vrai guerrier) et surtout cette faculté en fait à rouler coute que coute . Chapeau bas Monsieur Idris .
    En fait maintenant j’ai honte de moi, des excuses que je peux me trouver pour ne pas aller me frotter à nos chères montagnes, pour zapper une sortie et me mettre sur le home trainer ou quand je rale que le froid pique un peu trop .
    Voila Idris ce que je voulais te dire, en te remerciant une nouvelle fois pour tes commentaires et en te renouvellant toute mon admiration . J’espère vivment que j’aurais un jour la chance de te croiser et pouvoir partager avec toi quelques km .
    Amitiées sportives
    Jérôme

    1. Salut Jérôme !!! 🙂

      Wahou !!! Un très grand merci pour ton super message qui me fait vraiment sincèrement super plaisir !! 🙂

      Juste un seul mot MERCI !!

      J’espère bien te croiser sur les routes et prendre un verre avec toi un jour !! 😀

      A bientôt et pédale bien !! 🙂

    2. Hello Jérôme,
      très bel hommage à notre ami Idris !
      Maaaaaaaiiiis, il faut surtout souligner une chose parmi toutes les trucs qu’Idris réalise quand il fait du vélo :
      c’est qu’il est vraiment fou ! Et ce n’est pas lui qui va le démentir ha ha ha !
      Et attention, c’est parfois contagieux !
      Bien à toi.

      1. Ahahahaha 😀 Merci à toi Joris 😀

    • Nico on 27 avril 2018 at 12 h 26 min
    • Répondre

    Bonjour Idris
    Comme quoi ça faisait longtemps que je n’étais pas passé par ton blog. Je vois que tu as repris le vélo depuis, donc c’est que ça va mieux.
    Des pneus lisses, et en hiver, tu es un peu casse cou. Personnellement, même sans rouler sur la neige, juste pour éviter les crevaisons, j’utilise des pneus Continental GP 4 Saisons. Ils sont costauds et ont un très bon grip, de quoi sortir confiant.
    A+
    Nico

    1. Salut Nico 🙂

      Hé oui tout s’est mal goupillé dans cette histoire, j’avais les pneus mais je ne les avais pas changé… J’utilise depuis quelques temps des Vittoria Zaffiro, perso j’ai très peu de crevaison avec par contre ils s’usent plus vite que les Continental (entre 4000 et 5000 kilomètres).

      A bientôt 😉

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