Ce jeudi, le soleil continue de briller sur les Pyrénées et même si le matin il ne fait pas chaud, dans la journée on se croirait presqu’en été !
Toute la matinée je suis sur le marché de Tarbes. Je compte aller pédaler en tout début d’après midi. J’envisageais d’aller au col du Soulor ou quelque chose comme ça mais alors que je rentrais chez moi à pied, j’ai croisé un ami proche, allez on va se faire une bouffe dans un resto !
Un bon repas.
Mais juste après, pas super envie d’aller pédaler^^ L’heure tourne en plus, c’est un bon moment. Je me motive quand même, je prends le vélo, je prends le train jusqu’à Lourdes et c’est parti !
Je pars avec le Grandsaigne. Je pédale le long de la voie verte, il fait super bon, le ciel est bleu, on se croirait au mois de mai. Génial.
Les jambes ne sont pas mal au début mais bon, on est en décalé, je vais faire gaffe dans les montées. A Argelès, c’est parti pour 3 km à 9 %. Le coup de pédale est un peu plus lourd mais là c’est juste une sortie digestion. Il est plus tard que prévu, je vais plutôt opter pour monter le col de Couraduque (1367 m) dont le pied commence 3 km avant celui du col du Soulor pour une ascension similaire (6,5 km à 8 % de moyenne).
A Aucun, c’est parti pour l’ascension du col de Couraduque, il fait presque une chaleur écrasante, j’aime ça. Le paysage commence déjà à être enneigé. Il y a un peu de circulation car les pistes de ski au sommet sont ouvertes.
Ce n’est que la 3eme fois que je grimpe cette ascension, du coup j’ai un peu l’impression de la redécouvrir. Les jambes ne sont pas trop mal et franchement j’apprécie, le paysage est top, les pourcentages permettent de se tester aussi.
Au final ça défile assez vite et l’arrivée au sommet au milieu des skieurs c’est toujours un moment drôle quand tu es à vélo ! 😀
Un petit tour au sommet, puis je repars direct pour la descente. Plein d’arrêts photos pour le paysage. 4 ans que je n’avais pas reposé mes roues sur cette ascension !
C’était tranquille pour la descente car avec ce vélo j’ai moins confiance dans les freins. Et heureusement que je n’allais pas vite car au détour d’un virage, je me suis retrouvé devant des chèvres qui étaient bien sur la route^^
La suite de la descente s’est faite sans histoire puis le retour le long du Gave a paru un peu long et monotone, mais une sortie comme ça sous le soleil et dans la chaleur ça fait un bien fou !!
Et le soir, une bonne soirée de Saint Valentin !!^^
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