19 juillet 2017 (24e sortie) : J3- col de la Forclaz, Grimselpass et Furkapass

Récapitulatif :

3eme jour du périple.

Objectif : le massif du Saint Gothard dans le Canton d’Uri et du Tessin. Des routes fabuleuses que je m’apprête à parcourir durant 2 jours.

Mais au petit matin je suis encore à Finhaut dans le Canton du Valais.

Mon train à Martigny est à 8 h et je compte arriver à Oberwald dans le Canton d’Uri à 10h30 pour ensuite pédaler et rejoindre Andermatt en plein coeur du massif d’où je reprendrai le train pour Airolo au sud du massif dans le Tessin où je dormirai. Un bon petit programme en vue avec le Grimselpass (2165 m) que je compte grimper en aller retour avant d’escalader le Furkapass (2436 m) pour basculer de l’autre côté vers Andermatt. En cas d’escellentes jambes je me réservais également la possibilité de grimper le Nufenenpass (2478 m) qui lui, relie Oberwald à Airolo, mais c’était vraiment alternatif.

Depuis Finhaut j’avais 28 km à couvrir avant d’arriver à Martigny. Mais avant de profiter de la descente il y avait le col de la Forclaz (1527m) à passer. Bien évidemment étant donné que je suis déjà en altitude il ne s’agit pas d’une grosse ascension. Sur le moment je ne connaissais pas du tout le profil, c’est qu’il ne m’arrangeait pas à cette place là le col^^ Au final il s’agit quand même d’une montée de 6 km dont 5 sont à presque 8 % de moyenne.

Le problème ne viendra pas trop de l’ascension en elle même mais plutôt du petit déjeuner que je n’ai pas eu.

La veille j’avais demandé à avoir le petit dej’ tôt (il était compris dans le prix de la chambre) et je m’étais entendu avec la patronne pour l’avoir à 5h45, je comptais partir entre 6h15 et 6h30.

Je me suis levé, j’ai préparé mes bagages mais voilà…à 5h45 rien à l’horizon… Je suis descendu plusieurs fois dans la salle du petit déjeuner, il n’y avait personne et rien de prêt, je le sentais venir, la veille la dame n’avait rien noté, elle semblait un peu débordée et sa mère n’en parlons pas, pas même un sourire…

Le problème était qu’il n’y avait aucune alternative à Finhaut, pas trouvé de boulangerie et de toute façon, l’heure tournait je ne pouvais plus attendre.

J’ai fini mon sac et j’ai enfourché le vélo le ventre vide à 6h30. Il ne fallait pas que je traine, je ne connaissais pas le profil de l’ascension, ni sa longueur.

Les 2 premiers kilomètres sont en descente, douce fraicheur agréable, puis j’ai rejoint la route de Vallorcine, à cet instant je me trouvais à seulement 1 km de la France.

Et j’ai attaqué directement la route qui monte vers le col de la Forclaz, direct je me trouve sur des pentes autour de 8 % et avec le poids des bagages sur le vélo, je ne perds pas de temps pour me mettre à mouliner. Je sens très vite que j’ai le ventre vide et que je risque déjà de me retrouver dans une galère rien que pour aller prendre le train, la journée commence fort…

Le premier kilomètre passe, mais être sur le petit plateau dès le début, ça ne m’enchante guère mais faudra que je m’y fasse, le temps de prendre le rythme avec le poids supplémentaire. Le kilomètre de replat qui a suivi m’a fait du bien, passage dans un tunnel éclairé, puis ensuite la pente repart entre 7,5 % et 8%, toujours sur une large route qui donne l’impression de ne pas avancer très vite. Et là ça dure 4 km, mais quand tu ne le sais pas, ça parait vite long. Sur mon compteur je n’ai pas l’altitude en temps réel mais j’ai le dénivelé, du coup je le voyais augmenter et j’essayais de me dire à combien je serai une fois au sommet mais je ne connaissais l’altitude de départ qu’approximativement et je ne savais même plus si le col était à 1500 m ou 1600 m. J’avais en plus le ventre qui gargouillait et je repensais aux différentes personnes qui mettent en avant les bienfaits des sorties en vélo à jeûn le matin, mais est-ce que ça prend en compte les montées dans ces sorties…

Et alors que mes pensées étaient prises là dedans, j’ai fini par arriver au col de la Forclaz. Pfiou, quel soulagement !! Je n’avais plus que de la descente pendant presque 18 km et du plat en ville ensuite.

Ils ont foiré le timing du petit dej’ à la chambre d’hôte, tant pis, plus le temps et rien à manger, va falloir y aller…

Dans la montée du col de la Forclaz.

Ouf !! Pas fâché d’être à son sommet. J’aurais aimé ne pas l’avoir là ce petit bougre. Le premier de la journée, le plus court et pas le plus dur et pourtant c’est dans celui là que j’aurais eu le plus de mal.

Il me restait 50 minutes pour arriver en bas et trouver la gare, ça va le faire.

Je me suis élancé à tombeaux ouverts dans cette descente, route impeccable. Et là ça va décoiffer !!

Hormis une portion avec des lacets, tout le reste se fait sur de longues lignes droites de plusieurs kilomètres à forts pourcentages, au bord du vide avec en point de mire 1200 m plus bas…Martigny et toute l’agglomération !! Vertigineux !! C’est magnifique !! J’ai déjà vu paysages semblables mais là pour la première fois de ma vie en vélo, je vais avoir le vertige…

Je ne savais pas que j’étais sujet au vertige, maintenant je sais. Je déboulais à plus de 70 km/h (une pointe à 78), à seulement quelques centimètres du ravin à ma droite et je voyais Martigny tout en bas. Je ne sais pas si c’est dû au fait que je n’avais encore rien mangé, mais j’ai commencé à avoir la tête qui tournait et la nausée. Mais pas question de perdre du temps, il fallait continuer. Je ne ralentissais pas et je continuais à débouler en essayant de ne pas regarder à droite mais à un moment je me suis vraiment demandé si j’arriverai au bout de la descente, je ne me sentais pas bien. J’ai fait 2 arrêts photos dans cette descente.

Lever du soleil.

Martigny tout en bas !

Vertige à plus de 70 km/h aie aie aie…

On aperçoit la fin de la descente.

Une fois que je suis arrivé en bas, quel soulagement, je n’en revenais pas d’avoir eu le vertige dans cette descente, après en avoir fait un paquet par le passé pourtant…

Une fois en bas j’ai suivi la direction centre ville en me disant que je finirai bien par arriver. Je me suis arrêté 2 fois pour vérifier ma localisation sur le téléphone (très pratique) et j’ai fini par trouver la gare. Ouf !! Vite trouver un truc à manger. J’ai attaché mon vélo et je suis allé dans l’épicerie de la gare et j’ai acheté des « pains au chocolat français » comme c’était marqué, des bonnes chocolatines, j’ai aussi pris du ravitaillement en encas, une boite de thon (très pratique car pas besoin de garder au frais et tu la manges quand tu veux si besoin), des noix (décortiquées déjà) et des biscuits.

8 h le train de Genève est arrivé et j’ai embarqué pour me diriger vers le coeur de la Suisse. Changement à Brig où dorénavant tout le monde parle allemand et tout est indiqué en allemand et mon train suivant a fini par me faire arriver à Oberwald.

Gare de Brig en attendant la correspondance.

10h30, la sortie peut réellement commencer… Le soleil brille, la journée sera belle et à l’instar des deux derniers jours, la journée sera caniculaire. Dans le Ventoux je l’avais bien senti, heureusement que la veille pour le Barrage d’Emosson c’était en fin de journée.

Oberwald est le pied du Grimselpass (2165 m) et du Furkapass (2436 m) qui offrent des routes superbes en lacets, les deux cols se séparent au 6eme kilomètre. Ce qui fait que d’Oberwald j’ai 12 km à grimper jusqu’au Grimselpass puis une fois descendu il me restera 10 km jusqu’au Furkapass. Ce n’est pas insurmontable mais ce sera mon premier enchainement avec le vélo chargé et surtout les pourcentages et les paysages devraient être au rendez-vous.

Oberwald.

Le début de l’ascension se fait dans un décor déjà bien sympa.

Après le col de la Forclaz tôt le matin sans manger, j’espérais avoir de meilleures sensations, mais en partant, j’ai senti que ça viendrait mais plus tard, une fois que les jambes seraient dans le rythme.

Heureusement les premiers kilomètres ne sont pas très raides et se passent bien, ils sont agrémentés de quelques bons passages à 10 % mais surtout d’un joli paysage. Il y a de la circulation, voitures, motos, bus touristiques…

Je remontais les gorges et je guettais la bifurcation des deux routes. Et petit à petit, le paysage que je verrai pendant au moins les 2 prochaines heures, a commencé à se dévoiler. Tout d’abord les lacets impressionnants du Grimselpass qui montent, qui montent sur le versant de la montagne, la route est faite sur des fondations en pierres. Quand tu vois ça, tu as l’impression que c’est interminable mais depuis la bifurcation que je sentais proche il ne me resterait plus que 6 km.

Un peu plus loin au détour d’une courbe ce sont les lacets renversants du Furkapass qui se sont dévoilés, et là ça fait peur quand je sentais les sensations que j’avais à ce moment dans les jambes… Heureusement il était encore relativement tôt, j’avais tout mon temps pour gravir ces 2 cols même avec les bagages. Il fallait que je prenne mon logement entre 17 h et 19 h.

Déjà cette vision des routes est fabuleuse, on n’a pas de vue comme ça en France. Certaines ascensions s’en approchent et offrent des paysages phénoménaux, mais là c’est la première fois que je voyais des routes comme ça et c’est pour voir ça que je suis venu. Maintenant il n’y a plus qu’à^^

Les sublimes lacets du Grimselpass se dévoilent, magnifique !!

J’attaque la partie la plus spectaculaire du Grimselpass !

Il faisait grand beau et très bon, le top pour pédaler. Par ailleurs malgré la circulation, les véhicules en général s’écartaient suffisamment.

J’ai tourné à gauche à la bifurcation et j’ai attaqué les lacets. Ça grimpe, ça tourne, c’est superbe !! Plus je grimpais et plus la route du Furkapass qui m’attendait était impressionnante. Mais heureusement, plus je m’approchais du sommet du Grimselpass et plus les jambes allaient bien, je sens que je vais prendre mon pied dans la suite, le top !!

Point de vue au top en constante évolution sur la route du Furkapass qui m’attend après !

On se motive !

Au sommet du Grimselpass ce sont les motards qui sont à l’honneur avec une sculpture carrément. Ma première ascension à plus de 2000 m en Suisse, il va y en avoir beaucoup d’autres. Je vais à un bar là haut pour boire un verre et faire le plein de glucides. Je prends un coca. Et c’est là que tu réalises à quel point c’est cher en Suisse, 4 euros le coca, tu le savoures car tu sais qu’il n’y en aura qu’un seul…

Je me suis mis en terrasse et un cycliste est arrivé à côté, a pris un coca aussi et est venu à la même table. Il est…brésilien !! Et devinez en quoi on a parlé…en espagnol !! C’est pourtant bien différent du portuguais mais il le parlait. Il est en train de faire la traversée de la Suisse mais avec véhicule suiveur qui lui porte les bagages et le ravitaillement, ce n’est pas les mêmes valeurs…

Après quelques minutes je suis allé au bord du lac Grimsel qui est juste à côté. J’ai longuement admiré les sommets que l’on voit au dessus du lac. Ça va jusqu’à plus de 3600 m notamment pour l’Oberaarhorn (3631 m). C’était vraiment agréable comme endroit.

Mais ce n’est pas tout, il y a la suite.

ça y est voilà le sommet !

Ma première ascension de plus de 2000 m en Suisse !
Les jambes sont meilleures que tôt le matin, c’est encourageant pour le prochain !

Le lac Grimsel, jolie couleur et beau décor.

Je fais le plein de souvenirs avec le vélo.

Je m’attaque à la descente, descente rapide. Et quelle sensation bizarre de voir la route que tu dois monter en suivant et en même temps tu descends à pleine vitesse juste à côté^^

Une fois revenu à l’intersection en bas, j’ai mangé un peu et ensuite c’est parti.

Une de mes plus belles photos, au moment de commencer la descente du Grimselpass avec la vue sur l’ascension du Furkapass qui m’attend.

En bas de la descente, l’heure de manger un peu. ça chauffe.

Sur les premiers kilomètres la pente est moins raide (maxi 7 %) et ça fait un bien fou dans les jambes. Je prenais des photos en grimpant, je profitais à fond du paysage et je ne voyais pas le temps passer.

A un moment j’ai rattrapé des voyageurs en vélo qui pédalaient pieds nus, assez surprenant à voir, ils doivent avoir l’habitude de marcher un maximum pieds nus également j’imagine.

Après la longue ligne droite, j’ai attaqué la partie en lacets sur cette route impressionnante et ce coup-ci je voyais au loin les lacets du Grimselpass que j’avais grimpé avant et là tu réalises que ben, finalement ça avance^^

Début de l’ascension du Furkapass avec les lacets du Grimselpass juste à côté.

L’ascension se passe super bien, et la longue ligne droite est bientôt finie, je vais attaquer la partie en lacets. Hâte de voir la vue !!

Impressionnant de voir la route.

La pente s’est cabrée un peu plus pour passer aux alentours de 8,5 %. Juste avant un hameau, une longue portion de plusieurs centaines de mètres à 14 % saisie un peu mais j’étais vraiment de mieux en mieux et je n’avais plus envie que ça se termine. La température continuait de monter et il faisait vraiment très chaud, mais je supportais bien et heureusement que je prenais toujours plus d’altitude.

Dans un virage j’ai salué 2 cyclistes qui se ravitaillaient. Plus je grimpais et plus le point de vue sur la route et le Grimselpass changeait. Une fois que j’étais plus haut en altitude que le premier col, j’ai commencé à apercevoir au loin le lac du sommet. Ça veut dire que de mon côté je ne suis plus très loin d’arriver également.

Là c’est raide, ça fait déjà quelques centaines de mètres que c’est à 14 %.

Vue sur le Grimselpass de l’autre côté.

Le sommet n’est plus très loin !

Le lac Grimsel est de plus en plus visible.

Quand je suis arrivé au sommet à 2436 m d’altitude, d’une part c’était cool, je n’avais plus que de la descente. Et d’autre part, c’était mon premier enchainement du périple avec les bagages et tout s’était bien passé malgré le début sans petit dej’ et j’étais vraiment bien sur la 2e moitié du dernier col, j’espérais juste qu’il ne faudrait pas à chaque fois 2 cols d’échauffement pour apprécier le 3e.

Quelques minutes après les 2 cyclistes que j’avais salué dans la montée quand elles se ravitaillaient, sont arrivées en haut. Et en plus elles parlent français !! Et pour cause elles sont canadiennes.

On discute pas mal, elles ont fait le Stelvio quelques jours avant et là elles font la Suisse, des passionnées de vélo. Bien mignonne aussi 🙂

Au fil de la discussion j’ai fini par lui demander son âge, ben j’ai été presque choqué, je pensais qu’elle avait dans la trentaine^^ C’est le froid canadien, ça doit conserver au taquet 😀

4e plus haut col suisse. Souvenir avec les canadiennes, Nathalie et Lise.

Au sommet.

J’ai repris le vélo pour attaquer la descente, j’avais largement le temps d’arriver à Andermatt pour prendre mon train pour aller à Airolo ensuite.

Une belle descente, toujours sur une route superbe en bon état, des lacets et une vue magnifique sur la fin de la descente. Mais toujours pas mal de circulation.

Un passage à niveau fermé pour laisser passer un train puis je suis arrivé à Hospental puis Andermatt, des routes sur lesquelles je repasserai demain.

Dans la descente vers Andermatt, des superbes points de vue !!

Petit regard sur une route qui m’attend le lendemain, l’Oberalppass.

J’ai trouvé la gare, j’ai pris mes billets de train et après 1 changement, j’étais à Airolo en 30 minutes après le passage dans le tunnel ferroviaire du Saint Gothard.

Et là c’est vraiment impressionnant de passer d’Andermatt où tout est indiqué en allemand et où tout le monde parle allemand, à Airolo où tout est en italien et tout le monde parle italien. Vraiment il y a cette impression d’être dans 2 pays différents alors que non on est bien en Suisse à 20 km d’écart…

En attendant la correspondance pour Airolo.

Dans le train pour Airolo dans la traversée du tunnel ferroviaire du Saint Gothard.

L’Auberge où j’avais loué ma chambre était en direction du col du Saint Gothard, du coup ça m’a fait 1 km assez raide à grimper pour y accéder. La fille de la patronne était là et c’était un peu galère pour se comprendre^^ Elle parlait très mal le français, pas d’anglais à l’horizon, mais des bonnes tranches de rigolades quand on essayait de se comprendre. Le plus important était de pouvoir ranger mon vélo en sécurité^^ Et plus tard dans la soirée on a passé du temps ensemble 🙂

La journée avait été longue depuis 5h15 que j’étais debout, je l’avais bien apprécié avec cette superbe météo, et ça c’était pas gagné la météo, d’ailleurs la suite ne s’annonce pas bleue. Et pour le Nufenenpass (2478 m), je préférais le mettre de côté pour ne pas gâcher ce qui a été une belle sortie, de toute façon faut que je me remette en mode lessive pour le lendemain, il était déjà près de 18h30 quand j’ai eu la clé de ma chambre (c’était long à communiquer^^).

En mélevant au dessus de Airolo en direction de l’auberge du soir.

J’ai entrepris d’aller m’acheter quelque chose à manger pour le soir et le petit dej’ du lendemain. Je ne savais pas où étaient les épiceries et magasins, du coup je suis parti un peu dans le vide et j’ai fini par trouver une épicerie, manque de chance, ça fermait à 18h30, il était 18h45. Je continue, j’en trouve 2 autres mais pareil, ça fermait à 18h30. Je commençais à doucement sourire en me disant que je me retrouve dans de ces galères des fois, juste pour trouver de quoi manger^^

Après avoir pas mal marché, j’ai dû me rendre à l’évidence, si je veux manger, je n’ai plus le choix faut que j’aille dans un restau. Bon, pas de surprise, il n’y a presque que des restaus italiens^^

J’ai lu la carte pour vérifier que les prix ne s’envolaient pas trop hauts et je suis entré dans l’un d’eux. On a galéré sur l’explication de certains plats mais « tagliatella allo porcini » c’est en fait des tagliatelles aux champignons, pas si évident à deviner^^

J’ai bien mangé mon plat, je l’ai apprécié (même si j’ai mangé mes tagliatelles sans la cuillère à soupe, j’ai dû offenser le serveurs xD ).

En repartant j’ai vérifié l’heure d’ouverture des magasins pour acheter mon petit dej’ le lendemain. C’était 8 h.

Je me suis donc programmé de partir vers 8h30 ou 8h45.

Le soir a été bien occupé par ma lessive et le séchage au sèche cheveux et j’ai surtout croisé les doigts pour que les prévisions météos s’améliorent.

Pour cette 3eme journée du périple ça m’a fait 82 km de vélo et 2000 m de D+ avec des paysages superbes que j’ai adoré.

Bonne nuit à Airolo (Canton du Tessin).

(2 commentaires)

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    • james on 12 août 2017 at 22 h 57 min
    • Répondre

    Décidément, t’as un problème avec la bouffe ! Quand t’y penses, ceux sont les autres qui oublient 😉

    1. Salut James 🙂

      Ahahaha, ouais, c’est dingue^^ En tout cas sur ce coup ça ne m’a vraiment pas arrangé et je pense qu’il est probable que ce soit ça qui m’a causé les vertiges dans la descente de la Forclaz.
      Heureusement pour la suite ça a été, bien que pour la sortie du 7eme jour c’était limite^^
      Je suis sûr que tu vas te marrer^^

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