3 août 2016 (22e sortie) : col du Portillon et station de Superbagnères

C’est ce qui s’appelle optimiser au maximum le temps. Entre les journées chargées, les évènements pour mon entreprise et la tendinite au genou contractée début juillet, je n’ai plus du tout le temps ni la possibilité de pédaler, même pour des livraisons pas loin… Fichue tendinite…

Les semaines passent et ne plus pouvoir pédaler ni vraiment en avoir le temps, c’est de plus en plus frustrant… En plus la météo fait toujours des siennes et le soleil reste rarement 2 jours d’affilé…

Mais pour ce mercredi 3 août, je dois me rendre à la station de Superbagnères pour y tenir mon stand pour mon entreprise. C’est une des rares fois où je dois aller en montagne en voiture…

La station se trouve à 1804 m d’altitude au dessus de Luchon. Une montée longue de plus de 18 km qui a accueillie plusieurs fois des arrivées d’étapes du Tour de France dans les années 70 et 80. Hinault y a gagné et y a connu aussi une défaillance qui a précipité sa défaite (plus ou moins volontaire selon les avis) de 1986.

Pour ma part, je ne suis jamais monté là-haut, j’ai juste entendu dire que c’était une très belle montée.

Avoir la journée à passer là-haut, comment ne pas sauter sur l’occasion du coup. D’habitude je me déplace en train dans un soucis écologique mais là, étant donné que je dois m’y rendre en voiture avec toutes mes affaires pour le travail, j’ai donc pris le vélo avec moi aussi.

Rien n’est sûr cependant, car je ne sais pas où en est la tendinite après 4 semaines avec une rechute pas plus tard que 6 jours auparavant, ce n’est pas sûr non plus que j’aie le temps de pédaler à la fin de la journée car je suis dans une semaine plus que chargée et puis au niveau de la forme, ça risque de ne pas être au top…

Je suis parti tôt le matin car fallait que je sois là bas vers 8h. Le final est juste superbe au milieu des sommets. De là-haut, le panorama est magnifique sur le Pic d’Aneto (3409m), plus haut sommet des Pyrénées qui est juste là devant en Espagne, sans oublier la Maladeta (3312m) juste à côté et toute la crête à plus de 3000m qui marque la frontière avec le Pic des Crabioules (3116m), le Pic Pardiguère (3322m), Pic de Maupas (3109m), Pic Lézat (3107m) et bien d’autres. Bref, un régal pour les yeux !! Et ce sera mon décor pour toute la journée.

A Superbagnères de bon matin.

A Superbagnères de bon matin.

Le panorama est exceptionnel !

Le panorama est exceptionnel !

J'en prends plein les yeux !

J’en prends plein les yeux !

Les stands.

Les stands.

Et voici le mien, ma petite entreprise !!

Et voici le mien, ma petite entreprise !! Et le Pic d’Aneto en arrière plan au centre !!

Stand Superbagnères 021

Juste devant le Grand Hôtel !

Juste devant le Grand Hôtel !

Et avec le panorama superbe et le Pic d'Aneto et la Maladeta plein centre !!

Et avec le panorama superbe et le Pic d’Aneto et la Maladeta plein centre !!

La journée est passée, sous un soleil de plomb malgré les 1800m d’altitude. J’en ai vu passer du monde, j’ai mis à contribution mon faible anglais aussi, beaucoup de travail et de fabrication. Le soir, ça a fini plus tard que prévu, sans oublier le pot de clôture de la journée dans une super ambiance très conviviale.

Le temps de tout ranger, de cogiter en regardant le ciel qui commençait à voir venir les nuages, de me préparer, c’est vers 19h30 que j’ai enfourché le vélo. Durant la journée j’avais imaginé des tas de parcours possibles, mais vu l’heure tardive et même très tardive, ça allait être vite vu pour le parcours. J’ai opté pour descendre sur Luchon, grimper en aller retour le col du Portillon (1293m) sur la frontière espagnole avant de remonter à Superbagnères (1804m) en guise de montée finale. Vue l’heure je m’attendais à finir en nocturne. Heureusement que j’ai pu profiter du paysage toute la journée !

C’est ainsi que j’ai attaqué le descente. Il faisait tellement chaud que le k-way n’était pas utile, en manches courtes ça suffisait. Dès la première rampe, le ton est donné, les 80 km/h sont dépassés !!

Après avoir été un peu bouchonné par 2 voitures, j’ai pu les passer et me faire vraiment plaisir. Le décor est superbe, c’est tentant de s’arrêter prendre plein de photos mais chaque minute compte et j’ai préféré ne pas m’arrêter.

Après les premiers kilomètres de descente truffés de lacets, ce sont les lignes droites et courbes qui s’enchainent. Je ne connaissais pas la descente mais j’étais 100m derrière une voiture. Lorsqu’elle entrait dans une courbe, si elle arrêtait de freiner juste avant de disparaitre de mon champ de vision, c’est que je pouvais passer à fond. Et c’est ainsi que j’attaquais les courbes en aveugle à plus de 80 km/h. J’étais impressionné par les longues lignes droites, les forts pourcentages par endroit et les grosses ruptures de pente.

Je m’attendais à une interminable montée finale. En plus j’étais à fond dans la descente et je me suis retrouvé avec un point de côté^^

J’ai été un peu ralenti par les voitures sur les derniers kilomètres. Mais j’ai tout de même pu boucler les 18 km de descente en seulement 16 minutes.

J’ai tourné à droite en direction du col du Portillon (1293m). Je me posais beaucoup de questions vue l’heure et surtout pour ma tendinite. C’est vrai que je n’avais pas eu mal en tournant les jambes à fond dans la descente, mais qu’en sera-t-il dans la montée? En plus je sentais déjà que je n’étais pas très en forme et que j’allais galérer dans les montées… Mais je dois être un peu têtu… J’y suis quand même allé.

Fin de la descente et c'est parti pour l'ascension du col du Portillon.

Fin de la descente et c’est parti pour l’ascension du col du Portillon.

Direction l'Espagne !!

Direction l’Espagne !!

Le col du Portillon est un bon petit costaud en plus. Pas bien long (10 km) mais avec des pourcentages irréguliers allant jusqu’à 14% sur la première partie et 3 derniers kilomètres à plus de 10% de moyenne…

Et pour arranger le tout, la route est bien granuleuse et il n’y a aucun paysage…

Dès le pied de la montée j’étais pas en jambes et je savais que je partais pour faire une grosse bêtise… J’essayais de pédaler plus avec la jambe droite pour soulager le genou gauche de peur que la tendinite n’apparaisse mais très vite je me suis retrouvé à l’arrache. Tu parles d’une sortie de reprise…

Je passe le panneau indiquant le sommet à 9 km. L’altitude de mon compteur n’est pas tout à fait exacte mais je n’ai pas fait gaffe à celle indiquée sur le panneau. Je me motive en regardant l’altitude augmenter sur mon compteur sans savoir si il y a 100m de trop. La pente devient raide et certains virages sont impressionnant visuellement, à plus de 14 % et notamment ensuite 800m à 12 %…et je ne suis pas dans les 3 derniers kilomètres qui sont les plus durs normalement… Quelle galère…et y a encore Superbagnères derrière…

Soleil du soir dans la montée du col du Portillon.

Soleil du soir dans la montée du col du Portillon.

Heureusement que j’avais mon compteur parce que sur ces ascensions il n’y a pas d’indications régulières. Juste un nouveau panneau à 3 km du sommet qui indique effectivement 300m de dénivelé restant, sauf qu’à cet instant d’après mon compteur j’avais encore 4 km. Au final c’était bien 3 km qu’il restait, il y a kilomètre qui s’est envolé entre le panneau des 9 km et celui des 3 km. Ce n’était peut être pas plus mal. En tout cas ça m’a fait bien mal aux jambes et c’est en soupirant que je suis arrivé en haut sur la frontière. En plus comme j’étais en galère sur ces fortes pentes, je n’ai pas pris de photos en roulant et comme j’étais pressé dans la descente je n’en ai pas pris beaucoup non plus…

Au sommet du col du Portillon sur la frontière. Devant c'est l'Espagne !

Au sommet du col du Portillon sur la frontière. Devant c’est l’Espagne !

Petite photo souvenir, je suis déjà bien entamé...

Petite photo souvenir, je suis déjà bien entamé…

Portillon et Superbagnères 3 août 2016 017Portillon et Superbagnères 3 août 2016 018Portillon et Superbagnères 3 août 2016 020

Dans la descente du col du Portillon.

Dans la descente du col du Portillon.

Portillon et Superbagnères 3 août 2016 025Portillon et Superbagnères 3 août 2016 026

Je ne me suis pas attardé au sommet du Portillon, vue l’heure qui tournait et j’ai repris la route en sens inverse pour revenir sur Luchon. Sitôt revenu sur Luchon, j’ai directement enchainé avec l’ascension vers la station de Superbagnères. Encore 18 km… Faim dès le début, petit arrêt pâte de fruit. S’en suit les interminables lignes droites avec de fréquents changements de pentes. La route a beau être en bon état, mon genou gauche commence à refaire mal et la luminosité baisse tandis que je n’ai plus rien dans les jambes…

C'est parti pour les 18 kilomètres d'ascension vers Superbagnères...aie aie aie...

C’est parti pour les 18 kilomètres d’ascension vers Superbagnères…aie aie aie…

Portillon et Superbagnères 3 août 2016 028

Grosse fatigue de la journée passée debout et sûrement en méforme depuis la tendinite de début juillet… Heureusement que j’avais mon compteur pour me motiver mètre après mètre. Je me fixais des objectifs pour me motiver et avancer petit à petit, comme arriver aux 10 derniers km puis à 9 pour être à la moitié de l’ascension. Mais le soucis c’est que je savais pertinemment que la 2e moitié de l’ascension est plus dure que la première…

Portillon et Superbagnères 3 août 2016 029

Les lignes droites sont interminables...

Les lignes droites et les courbes sont interminables…

Portillon et Superbagnères 3 août 2016 031Portillon et Superbagnères 3 août 2016 033

En plus, ce n’est qu’à la moitié de l’ascension, soit à la fin du 9e kilomètre que se présente le premier lacet… Un enchainement de 3 lacets avant…3 km de ligne droite de nouveau. Heureusement, j’ai eu un regain d’énergie dans les jambes à la moitié de l’ascension, mais seulement sur 2 km… C’est le genre de moment où tu demandes ce que tu es venu faire dans cette galère… Plusieurs kilomètres à 9% font très très mal… Tu essayes de t’encourager en te disant que Hinault y a connu aussi une défaillance, mais le bougre avait quand même sauvé son maillot jaune, et en plus il avait gagné en 1979^^

Les premiers lacets de l'ascension, à la moitié...

Les premiers lacets de l’ascension, à la moitié…

Le paysage commence à devenir sympa, mais ça grimpe sec.

Le paysage commence à devenir sympa, mais ça grimpe sec.

J’ai vraiment envie de manger tout ce qui pourrait me passer sous le nez (sauf du fromage). L’obscurité augmentant, je m’octroie une pause à 5 km pour mettre mon gilet jaune avant de repartir. Les kilomètres durent longtemps. Je n’y vois plus rien et je prends mon téléphone portable qui a une lampe de poche, histoire de pouvoir continuer à lire mon compteur. Parce que déjà que je ne vais pas vite, si en plus je n’arrive plus à lire le kilométrage, ça ne va pas le faire.

L'obscurité augmente...

L’obscurité augmente…

L'appareil commence à manquer de netteté avec la baisse de luminosité.

L’appareil commence à manquer de netteté avec la baisse de luminosité.

Et c’est ainsi que je grimpe le final, avec mon portable dans la main gauche et de temps en temps, en prenant des photos avec mon appareil dans la main droite.

Le grand Hôtel en haut de la station, se distingue nettement dans l’obscurité. Le dernier kilomètre est juste interminable à près de 10%. Heureusement que j’ai profité du sublime paysage toute la journée parce que là, je ne vois plus rien…

Même le panneau d’entrée dans Superbagnères avec l’altitude n’est plus lisible dans le noir, il y en a un 2e un peu plus loin.

Dans un dernier coup de rein j’arrive à la voiture (dans laquelle j’ai failli m’encastrer tellement je ne voyais rien^^).

Je n'y vois bientôt plus rien...

Je n’y vois bientôt plus rien…

Luchon en bas.

Luchon en bas.

A la lueur de ma lampe de poche. Enfin !!

A la lueur de ma lampe de poche. Enfin !!

Le Grand Hôtel.

Le Grand Hôtel.

Pas mécontent d’en finir. Le temps de me changer, de manger un peu parce que c’était la fringale totale, il était presque 22h15 et je n’avais mangé qu’une pâte de fruit depuis les frites du midi^^ Et me voilà. C’est que le lendemain à 5h30 fallait être à pied d’oeuvre pour la suite de la semaine comme si de rien n’était, avec juste le mal de jambes et…une bonne douleur au genou gauche de nouveau. C’est qu’en descendant du vélo j’ai eu bien mal au genou, beaucoup plus qu’en pédalant (je préfère dans ce sens plutôt que le contraire tout de même).

Petite nuit, mais une petite sortie tardive qui fait du bien malgré la méforme totale, je suis un peu rassuré sur l’évolution de la tendinite et j’ai pu découvrir quelques nouvelles routes. En tout cas le col du Portillon, ne restera pas dans les plus beaux endroits dans lesquels je suis passés. A l’inverse, Superbagnères c’est grandiose mais en fin de journée comme ça, et en plein milieu de la semaine, ça fait mal aux jambes pour une sortie de convalescence…

Au final ça fait une sortie de 55 km et 1900m de D+ commencée à 19h30…avec peu de photos du coup.

Ce n’est pas des montées que j’espérais faire de sitôt car c’est un secteur difficilement d’accès en train (surtout depuis que la ligne de train a été supprimée…) ou en vélo (Aspin et Peyresourde à franchir).

(10 commentaires)

4 pings

Passer au formulaire de commentaire

  1. Chapeau pour ta sortie Idris. Surtout, pour l’avoir faite après ta journée de travail épuisante.

    Travailler et faire de telles sorties vélo, ça c’est ce que j’appelle de la motivation.

    Soigne bien ta tendinite (glace!) pour éviter de la trainer de longs mois.

    Je te joins quelques photos d’une sortie faite à Superbagnères en décembre dernier, les paysages y sont encore différents ;):

    https://pbs.twimg.com/media/CXetpAWW8AAcmMi.jpg:large
    https://pbs.twimg.com/media/CXet5I3WYAE8qz8.jpg:large
    https://pbs.twimg.com/media/CXetzleWAAACNVp.jpg:large

    1. Salut David 🙂

      Merci pour ton message 🙂
      Ouais la sortie comme ça en décalé complet dans la journée, ça m’a pas super réussi^^ Mais c’était la reprise. Pour la tendinite je pense que c’est bon, j’ai pu repédaler dimanche dernier et je n’avais presque plus mal et là je pense que c’est bon 🙂 Ouf !!

      Sympa tes photos, effectivement c’est une autre ambiance 🙂 Mais c’est vrai que les 5 derniers kilomètres sont vraiment sublimes ! Et j’ai vraiment eu du bol parce que toute la journée il n’y avait pas un seul nuage et j’ai pu profiter du paysage, ça s’est un peu couvert en fin de journée mais rien de méchant.

    • laurent on 10 août 2016 at 13 h 55 min
    • Répondre

    Hé Salut Idris !
    quelle motivation tu as quand même pour partir faire une sortie si tard ,surtout avec 2 ascensions !!
    Attention quand même à ta tendinite car ca revient vite ces saloperies là …
    bizarre , il n y as pas de lumière a Superbagnères , j y suis aller que l’hiver pour skier mais de mémoire il y a bien qques maisons ? non ?
    Content de voir que tu as pu repédaler un peu !et le paysage est splendide là bas …ca valait le coup
    @+ le pyrénéen

    1. Salut Laurent !!! 🙂

      Merci pour ton message !! 🙂 Ouais ça valait vraiment le coup de pédaler avec ce paysage !! 🙂 Mais bon, j’avais vraiment pas de bonnes jambes^^ En tout cas toute la journée j’ai eu ce paysage à 360, c’était génial 🙂

      Oui il y a quelques appartements et résidences mais aucun lampadaire. J’ai été impressionné, juste 2 lampadaires à l’entrée de la station mais après c’est le noir complet et ma voiture était garée en plein milieu j’ai failli m’encastrer dedans (et pourtant j’allais pas vite^^).

      Pour la tendinite ça semble bon maintenant depuis ce wkd. C’est la première fois que ça m’est arrivé, j’espère que ça ne reviendra pas de sitôt !!

      A bientôt Laurent !! J’espère que tu vas bien et que la famille aussi 🙂

    • Cyrille on 10 août 2016 at 18 h 24 min
    • Répondre

    Belles photos une fois de plus par contre meme en cas de fringale tu mangeras pas un bout de fromage??lol

    1. Salut mon vieux !! 🙂

      Hé ouais même en cas de fringale c’est pas possible !! 😀

  2. Salut Idris.

    Whaow ! Commencer à 19h30 c’est vraiment une sortie de fêlé ! Cela m’est déjà arrivé une fois de terminer de nuit en hiver (18h) il y a quelques années car la nuit tombe beaucoup plus tôt et à cause d’un train dont le passage au Mont Dore (63) avait été annulé, remplacé par un taxi mais qui ne prenait évidemment pas les vélos. Tu as raison, le panorama a Superbagnères est superbe, je l’avais fait en 2012 avec un vélo de location.

    Ton médecin ne t’a pas prescrit de cachets anti-inflammatoires (bi-profenid, kétoprophène…) ? Attention aux cachets de Voltaren qui ont un effet somnifère. En juin 2011, j’avais moi aussi eu une tendinite et ce alors que j’étais au meilleur de ma forme. J’avais terminé mais à l’arraché sur l’Ardéchoise et la cyclo Les Copains à Ambert (63), un souvenir bien frustrant !

    Bon rétablissement à toi.

    1. Salut Antho 🙂

      Ahahaha ouais, un peu fêlé sur le coup. J’avais de la motivation à revendre 😀
      Je suis pas allé voir le médecin mais plutôt un ostéo. J’ai aussi mis de l’argile verte et du gel de silicium. J’ai refait du vélo ce week end et ça faisait moins mal que sur cette sortie. Et là je pense que c’est revenu dans l’ordre, verdict à la prochaine sortie 🙂

      Merci à toi 🙂

      A bientôt.

  3. Very very crazy man !!! 😉 Mais t’es un vrai warrior, Michel dirait presque que ce n’était pas une sortie de « tafiole » ! 🙂

    1. Ahahahaha 😀 Merci Joris 😉

  1. […] « 3 août 2016 (22e sortie) : col du Portillon et station de Superbagnères […]

  2. […] la tendinite de juillet, la sortie de reprise avec notamment les montées du Portillon et de Superbagnères n’avait pas été concluante mais j’avais mis ça sur le compte de la fin de journée et […]

  3. […] de chute cette année, autant cette tendinite c’est tout comme… Et pile en plein été, l’enchainement Portillon et Superbagnères comme reprise ça avait bien […]

  4. […] J’attaque l’ascension du col du Portillon. Le début est roulant puis ensuite il reste 7 km à plus de 8 % de moyenne avec de fréquents passages à plus de 10 %. C’est la deuxième fois que je m’attaque à cette ascension après 2016, à l’époque j’avais ma tendinite au genou et j’avais ensuite fait l&…. […]

Répondre à laurent Annuler la réponse

Your email address will not be published.