16 décembre 2017 (54e sortie) : col des Palomières – Campan

4 semaines sans vélo en montagne, c’est une éternité… Depuis le 18 novembre…

La période est bien chargée et la météo plutôt pluvieuse des dernières semaines n’aide pas non plus…

Pour ce samedi 16 décembre, ça ma démangeait…

Mais ça s’annocne chargé et pas très beau. Le matin je suis présent sur Bagnères pour mon entreprise comme d’hab’ et l’après midi je dois aller sur 2 évènements sur Bagnères puis j’ai des livraisons à faire sur Tarbes. Ça va être compliqué si en plus je dois jongler avec la pluie…

Si tout va bien j’aurais de 14h15 à 16h45 de dispo…

La matinée est bruineuse et plutôt froide…

J’ai le vélo avec moi mais je me pose de sacrées questions, c’est qu’il faut que je sois présentable pour les évènements de l’après midi, je suis en jean et pull normal, pas super adapté pour le vélo.

En début d’après midi je vais rendre une petite visite dans une galerie de créateurs où Marlène expose ses tableaux. Vous vous souvenez, c’est elle qui m’a refait la superbe déco de mon vélo !!! Nous discutons longuement.

Ensuite je décide d’enfourcher le vélo, le ciel est très menaçant mais à ce moment là il ne pleut pas… Par contre le timing sera un peu juste pour aller au col d’Aspin et faut dire que vu le ciel et la température, la motivation est moyenne aussi.

Ce sera le col des Palomières (810 m). Si possible le grimper par les 2 côtés tant qu’à faire, on va voir.

Je ne sais pas où en sont les jambes non plus…

Je me lance à corps perdu dans l’ascension, elle n’est pas très longue (4,5 km), ça vaut le coup de se tester après tant de temps sans pédaler.

Avec le froid je restais un peu engourdi quand même. Mais que c’est bon de se défouler !! Au final les jambes ne sont pas très bonnes mais pas très mauvaises non plus…

En arrivant au sommet, il y avait un vent froid qui soufflait, juste le temps de prendre quelques photos du paysage puis je suis reparti, j’ai commencé à aller de l’autre côté et d’un seul coup en entrant dans les Baronnies sous les arbres, la route était très humide et le froid était glacial… Là non, c’est sûr ça allait être zéro plaisir dans la descente et la 2eme ascension… Je me suis arrêté, j’ai fait demi tour et j’ai attaqué la descente sur Bagnères…

Au sommet des Palomières. Ciel menaçant et il ne fait pas chaud…

Vue depuis le sommet.

Le sommet du col.

Début de la descente de l’autre côté…glacial…

Dans la descente sur Bagnères, le ciel est de plus en plus menaçant, le Pic du Midi est dans les nuages…

Une fois en bas, histoire de rajouter quelques kilomètres j’ai opté pour remonter la vallée jusqu’à Campan et grimper au Pleu de l’Abéreu, là où j’ai grandi, pour admirer le paysage et se taper un petit raidillon à 13 %.

J’apprécie toujours de remonter là haut de temps en temps, ce sont les souvenirs d’enfance et surtout le paysage que j’avais sous les yeux pendant mes 10 premières années.

En direction de Campan.

Depuis la maison de mon enfance au Pleu de l’Abéreu, le Montaigu est dans les nuages…

Le ciel devenait franchement menaçant, du coup c’est reparti pour revenir à Bagnères. Quelques chèvres puis petit coucou au Géant du Tourmalet en passant et je suis revenu à Bagnères tout juste au moment des premières gouttes de pluie…

Octave Lapize attend patiemment de remonter au sommet du col du Tourmalet…

Et j’ai pu continuer ma journée sur les évènements prévus et sur Tarbes le soir.

Seulement 27 km de vélo et 650 m de D+ mais ça fait du bien après tant de temps.

Par contre après le 100 eme Aspin du 14 octobre, je pensais y retourner en 2017 et là je commence sérieusement à me poser des questions… Plus de 2 mois sans l’avoir monté…

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