Pour clôturer la partie vélo de ce mois de mai, la sortie s’est faite ce mercredi 27. Ce n’était pas forcément l’idéal. Les plus beaux jours sont prévus pour ce week end mais malheureusement, entre les rendez-vous et les déplacements y compris ce week end, j’ai essayé de caser cette sortie en semaine. A l’origine elle était prévu pour ce jeudi 28 mais mes rendez vous importants que j’avais mercredi se sont décalés au jeudi et tout s’est donc inversé un peu à la dernière minute.
Ça a un peu tout chamboulé car je prévoyais une grosse sortie et au final j’avais la tête ailleurs sur les rdv du lendemain.
En plus niveau météo je n’étais pas certains que ça soit si bien que ça mais la veille au soir, les prévisions étaient optimistes.
Le programme que je prévoyais était une grosse sortie à cheval entre les Pyrénées Atlantiques (64) et les Hautes Pyrénées (65). Prendre le train à Tarbes, jusqu’à Nay dans le 64 puis de là reprendre la route que j’étais allé reconnaître au mois d’avril quand j’avais grimpé le col du Soulor par Ferrières, puis rejoindre la route qui mène à Laruns au pied de 2 cols : le col du Pourtalet (1794m) sur la frontière avec l’Espagne, long de 29 km que je prévoyais de faire en aller retour, puis d’enchainer avec le col d’Aubisque (1709m) que je souhaitais grimper pour revenir dans le 65 par le col du Soulor et rentrer par la vallée des Gaves.
C’est une sortie qui m’aurait fait découvrir des nouvelles routes et notamment le versant mythique du col d’Aubisque. Je prévoyais pas loin de 190 km pour la boucler. J’aurais même probablement poussé à 200.
J’avais été très en forme lors de la dernière sortie dans le Tarn avec Seb. Je ne savais pas trop jusqu’à quand les bonnes jambes allaient durer car ça fait 2 mois que je suis en bonne forme et tôt ou tard ça va baisser. J’espérais juste que ça arrive avant l’été histoire de repartir en forme pour l’été.
C’est avec tout ça en tête que je me suis préparé mercredi matin. J’ai pris beaucoup plus de réserve d’eau ainsi qu’une petite bouteille de coca dans mon sac en prévision de la longue sortie. Je suis parti à 6h30 en direction de la gare de Tarbes pour prendre mon train à 7h12.
Il faisait un ciel dégagé en plaine mais encore nuageux sur les montagnes, j’espérais que ça s’estompe au fur et à mesure.
En direction de Tarbes, les montagnes sont dans les nuages :
En regardant vers le nord et la plaine, c’est un peu mieux :
C’est à 8h à peu près que j’ai débarqué à Nay. Il faisait encore bien frais, pas plus de 12°C. Je me suis élancé sur la même route que j’avais prise la dernière fois, direction Asson, puis juste à l’endroit de la bifurcation avec le chemin qui mène au zoo d’Asson, j’ai pris la petite route qui permet d’éviter la grande route pour rejoindre Louvie Juzon (qui est sur la route Pau – Laruns). Pendant une dizaine de kilomètres j’ai roulé sur cette petite route, pas forcément en bon état, qui monte progressivement jusqu’au col des Bouts (421m). J’ai assez vite senti que j’étais bien moins en jambes que lors de la dernière sortie. Je m’employais beaucoup plus sur les faux plats et les montées par rapport à d’autres sorties.
C’est parti :
Toujours les nuages sur les sommets :
De l’autre côté du col des Bouts, je me suis laissé descendre pour rejoindre une autre route où était indiqué Louvie Juzon à 7 km. Sur cette portion il y a une longue montée en ligne droite à 9%. J’étais sur 39×25 et au fil des kilomètres je sentais bien que ça risquait d’être difficile. Et en plus, plus j’avançais vers les montagnes et plus je me retrouvais sous les nuages qui ne s’estompaient pas en fait… Je sentais bien aussi que la tête n’y était pas trop.
Après la montée, j’ai pu redescendre sur Louvie Juzon. De là il me restait à rejoindre la route de l’Espagne, j’étais à 12 km de Laruns encore. Il y avait beaucoup plus de circulation sur cette route, et j’étais content d’en avoir évité une bonne partie jusqu’à Louvie Juzon. Je reconnaissais cette partie pour y être passé en 2009 lorsque j’étais allé au col de Marie Blanque, ça commence à dater^^
Louvie Juzon :
C’est au terme de nombreux faux plat montant que j’ai atteint Laruns, enfin. J’en étais à 48 km au compteur. Malheureusement, le ciel était complètement gris et les sommets toujours dans les nuages. La route du Pourtalet étant celle de l’Espagne, la circulation était celle que j’avais eu sur la route jusque là. Et à côté de ça, je sentais que mes jambes étaient moyennes, pour une ascension ça allait être bon mais pour deux, ça promettait une fin d’Aubisque difficile. Après avoir réfléchi à tout ça, je me suis dit que c’était plus sage de renoncer au col du Pourtalet, aucun intérêt à se farcir les 29 interminables kilomètres de montée pour se retrouver dans le brouillard et se griller pour l’Aubisque après. Je préfère profiter du col d’Aubisque.
Et c’est ainsi que j’ai décidé d’aller directement grimper le col d’Aubisque. J’allais enfin me frotter aux pentes du versant le plus difficile de ce col. Je l’ai monté 2 fois par l’autre côté auparavant.
Y a plus qu’à grimper :
Pour la présentation de l’ascension du col d’Aubisque, le versant par Laruns c’est 16,6 km à 7,2% de moyenne. Le début est relativement raisonnable jusqu’aux Eaux Bonnes et à partir de là il reste 12,5 km à 8% de moyenne et quelques kilomètres à 10% avec des passages bien raides.
Je me suis arrêté à la sortie de Laruns à la bifurcation entre les routes du col du Pourtalet et du col d’Aubisque pour manger une pâte de fruit et enlever ma veste thermique pour faire l’ascension en manches courtes. Il faisait 17°C à ce moment, un peu frais mais dans la montée ça devrait aller. J’espérais ne pas être trop longtemps dans le brouillard vers le sommet.
Non non, pas de fromage pour moi :
Je me suis élancé dans l’ascension. Les quatre premiers kilomètres sont tantôt à 4,5% de moyenne et tantôt à 7%. On s’élève assez vite au dessus de Laruns. Je me suis calé sur 39×25 dès le début. Je garderai finalement ce braquet jusqu’en haut.
La route grimpe sur quelques lacets puis c’est surtout des courbes à travers la forêt. Il n’y a pas beaucoup de choses à voir. J’étais un peu en force pour un début d’ascension mais au final, je garderai les mêmes sensations jusqu’en haut. Après 4 km, je suis arrivé aux Eaux Bonnes, cette station thermale perchée sur les premières pentes du col. La traversée de la station est en mauvais état et pas franchement agréable, en plus elle se fait sur une pente à 9%.
C’est parti :
Petit replat en sortant des Eaux Bonnes avant que la pente ne reparte à 8% pour de bon cette fois. Ça continue de grimper à travers bois sur une route surtout en larges courbes plus qu’en lacets. Après 1 km à 8%, il y a un répit avec un peu plus d’un kilomètre à 6%. Juste après, un panneau annonce un passage à 13% et il se fait sentir !
Peu après on passe dans un endroit plus dégagé et sauvage sur des pentes aux alentours de 8%. Des vaches n’arrêtent pas de meugler à côté, ça donne une ambiance sympa^^
La route continue ensuite de grimper en courbes et quasi lignes droites pendant plusieurs kilomètres sur une pente soutenue.
Attention les jambes :
J’ai passé deux paravalanches à un moment. Je commençais à m’ennuyer dans l’ascension car il y a vraiment peu de choses à voir sur cette première partie de montée et la pente à plus de 8% en quasi ligne droite, c’est pas très agréable. En plus les nuages étaient toujours là, du coup quand il pouvait y avoir une vue plus dégagée, ça restait restreint.
Pour ce qui est des jambes, ça tournait toujours sur 39×25 avec les mêmes sensations qu’au pied de l’ascension, pas grandiose mais ça se maintient bien.
Les kilomètres entre 8 et 10% (à 9 km) s’enchainent.
C’est à environ 2 km de Gourette que le paysage s’est véritablement dégagé. Un passage à un embranchement avec un parking donne l’impression d’être perdu en plein milieu d’une zone bétonnée (quand on est sur le vélo). Puis les lacets qui suivent sont vraiment très beaux, à découvert. Juste après, premier point de vue sur la station de Gourette qui n’est plus très loin avec l’immense cascade juste à côté.
Vue sur Gourette (un peu cachée derrière les arbres) qui n’est plus très loin et la cascade à droite :
L’entrée dans Gourette est agréable pour la tête, car là il reste moins de 5 km, en revanche, vu la tronche, elle donne un surplus de motivation pour la quitter bien vite^^ Le début de la traversée de la station se fait sur une pente qui diminue en intensité mais la pente repart de plus belle sur du 9% pour la deuxième partie de la traversée de la station. La sortie est encore plus ardue avec un bon passage raide à 13% et un pic à 14% qui m’a vu m’arracher un bon coup pour passer sur 39×25.
Enfin la station, mais vite vite, c’est suffisamment moche pour se dépêcher d’en sortir :
Sur les 4 derniers kilomètres la pente sera à environ 8,5% de moyenne avec quelques passages à plus de 10%.
C’est sans répit mais somptueux. La route devient vraiment une route de haute montagne, c’est vertigineux à voir. Malgré les nuages qui sont de plus en plus proches au dessus de moi (forcément^^), je prenais grand plaisir à pédaler, en plus malgré tout, je pouvais relancer comme je voulais. Je prenais plein de photos tout en grimpant depuis le début mais là sur ce final à 2 reprises je me suis arrêté pour bien cadrer mes photos.
Dommage ces nuages qui empêchent d’avoir la vue complète. A 2 km du sommet, c’est devenu franchement menaçant et la température a chuté d’un seul coup passant de 19 à 10°C avec le vent qui s’est levé. En manches courtes je commençais à claquer des dents^^ Je commençais à me dire que j’allais mettre ma veste thermique pour finir l’ascension mais je me suis retrouvé abrité du vent au détour d’une courbe et les 10°C se sont avérés supportables sans avoir besoin de s’arrêter si proche du sommet.
Les 4 derniers kilomètres sont superbes :
Vue sur Gourette et la cascade :
Un régal pour les yeux, Gourette est à droite :
En arrivant au sommet à 1709m, j’étais bien content car l’ascension s’est bien passée malgré tout, le 39×25 a suffit et surtout j’allais pouvoir mettre ma veste thermique^^
Il ne faisait pas chaud du tout, il n’y avait pas grand monde non plus, les nuages très bas, tout ça a fait que je ne me suis pas attardé au sommet. J’ai mis mon feu à l’arrière en prévision du court tunnel complètement noir qui va arriver.
En arrivant au sommet du col d’Aubisque, les grands vélos aux couleurs du Tour de France sont en vue :
Le sommet, juste sous les nuages :
C’est parti pour un des endroits que je préfère, la descente puis la remontée sur le col du Soulor, le long du cirque du Litor. Là j’appréhendais juste un peu la descente pour le froid qu’il allait faire car à l’arrêt je claquais déjà des dents…
Heureusement, l’endroit est tellement beau que je me suis souvent arrêté pour prendre des photos sur ces 10 km de route entre le col d’Aubisque et le col du Soulor. Cette fameuse route qui a donné le nom de « Cercle de la Mort » à la fameuse étape Luchon – Bayonne de 1910. On ne compte plus le nombre de morts qu’il y a eu au fil des ans dans cet endroit.
Je cherchais aussi du regard la plaque indiquant l’endroit où Wim Van Est est tombé en 1951 alors qu’il avait le maillot jaune sur les épaules. Mais une nouvelle fois je ne l’ai pas trouvée…
J’ai traversé le fameux tunnel, seulement 150m de long mais en coude et donc complètement obscur. Peu après, je suis repassé dans les Hautes Pyrénées et la route remonte pour 2,5 km jusqu’au col du Soulor avec notamment 1 km à 7%. Je commençais à avoir franchement faim. Depuis le début de la sortie je n’avais mangé qu’une seule pâte de fruit…
La route sublime du cirque du Litor entre Aubisque et Soulor :
Vue sur la route du col du Soulor versant Ferrières de l’autre côté, le col du Soulor est à droite, j’ai emprunté cette route en avril :
Le tunnel complètement sombre :
Le 2e passage dans la roche en vue :
La route se remet à monter pour aller au col du Soulor :
En regardant derrière moi, là où je viens de passer, magnifique :
Toujours en regardant derrière moi (on distingue le tunnel sombre au loin) :
En regardant vers le col du Soulor qui n’est plus très loin :
Une fois au col du Soulor, le temps de caresser les ânes qui étaient là avec un petit nouveau, et j’ai continué mon chemin en m’attaquant à la descente vers Arrens Marsous.
Au sommet du col du Soulor avec les ânes (fallait bien) :
Y a un petit nouveau en plus :
En regardant vers la route du cirque du Litor d’où je viens :
Dans la descente du col du Soulor :
Sur la partie en faux plat ensuite, j’ai pris pas mal de vent. Il soufflait fort dans la vallée des Gaves et ça n’augurait rien de bon pour la suite du retour. Dans cette vallée il faisait plus ensoleillé mais plus venteux.
Une fois redescendu à Argelès Gazost, j’ai décidé de rajouter quelques kilomètres en faisant un petit détour plus au sud à Pierrefitte Nestalas qu’on peut atteindre par la voie verte. Je voulais y aller pour aller jeter un œil sur la montée de Cauterets et voir si il y avait beaucoup de circulation, en prévision d’une éventuelle future sortie par là bas, que j’espère belle. Avec vent dans le dos, les 7 km jusqu’à Pierrefitte sont vite passés. J’ai pu voir qu’il n’y avait pratiquement pas de circulation sur la route montant à Cauterets. Bon à savoir.
Sur la voie verte en direction de Pierrefitte :
La route en lacets qui monte à Cauterets, personne :
Avec le zoom on distingue mieux les 3 lacets :
J’ai rejoint de nouveau la voie verte pour rentrer ce coup-ci. Encore 44 km… Je me suis arrêté sur un banc le long de la voie verte pour manger un peu. J’avais pris avec moi, une boite de thon. Ça a fait du bien. Je suis reparti ensuite, vent de face en direction de Lourdes. Ça soufflait vraiment très fort et j’étais scotché à 20 km/h. Du coup j’ai pris mon mal en patience en gardant un peu d’énergie en prévision des montées dans la traversée et la sortie de Lourdes ainsi que sur la fin du parcours.
Sur la voie verte en direction de Lourdes :
Après avoir passé Lourdes, y a du monde sur la nationale :
Sur l’ancienne route le long de l’aéroport :
Au fil des kilomètres je sentais que j’avais de plus en plus mal aux jambes et c’est dans les montées que j’étais le plus à l’aise toujours.
J’ai terminé les 15 derniers kilomètres à bloc autant que possible, histoire de me terminer^^
En rentrant, j’avais bien mal aux jambes mais je n’étais pas saturé de kilomètres.
Pour les chiffres ça fait 144 km pour la sortie et 2300m de D+. Quant au col d’Aubisque, c’est la 3e fois que je le grimpe au total et la première par ce versant.
A quelques mètres de la maison, vue sur les montagnes toujours dans les nuages :
En tout cas ce fut une bien belle sortie avec la découverte du col d’Aubisque par Laruns. J’ai en plus pu le monter sur 39×25 malgré le fait de ne pas avoir de très bonnes jambes et sans être en difficulté. C’est juste un peu décevant d’avoir eu ces nuages accrochés aux sommets. Pour le col en lui même, les 4 derniers kilomètres sont somptueux et grandioses mais les 12 premiers kilomètres ne sont pas les plus agréables…
Quant au col du Pourtalet, ce sera pour une prochaine fois, je pense que le mieux sera de le placer dans un parcours avec le col de Marie Blanque, avec un point de chute final sur Pau ou Oloron Sainte Marie, ce sera plus facile à gérer plutôt qu’avoir le col d’Aubisque pour rentrer.
Voilà qui clôture un très bon mois de mai avec 3 sorties à plus de 140 km et des beaux enchaînements notamment les 7 et 10 mai. Et pour ce début d’année, j’ai pu grimper une grande diversité d’ascensions dans le secteur (Tourmalet, Aubisque, Aspin, Hourquette, Peyresourde, Hautacam, Soulor) et on n’est pas encore à l’été.
Sur le profil de la sortie que j’ai tracé, il faut rajouter les 10 km pour aller à la gare le matin.
(10 commentaires)
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Salut Idris
Belle sortie encore que tu as fait là , ce parcours je l’ai déjà fait plusieurs fois en partant d’argelès , j’aime bien ,
comme tu dis la montée jusqu à gourette est pas des plus agréable en plus c’est quand même assez raide
les 5 derniers km de l’Aubisque sont superbes mais la météo est souvent moyenne là haut … résultat on s y attarde pas , et Cirque du litor grandisose .
tu arrives toujours a tomber sur des ânes toi , lol , ou que tu ailles , il y en a toujours
@+
Laurent
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Salut Laurent 😀
Merci pour ton message. Oui c’est un coin où il y a souvent du brouillard. J’ai pu y aller quand il faisait beau aussi mais dans les deux cas c’est magnifique.
Ahahaha ouais, faut croire que les ânes m’attendent 😀 J’en avais vu aussi au pied de l’Aubisque en contrebas de la route mais ils étaient un peu loin.
A la prochaine 🙂
PFIOUUUU, Superbe ! Pour le 39×25 que tu ne quittes plus depuis plusieurs mois, je te propose de monter ton vélo en FIXIE avec un pignon fixe comme ça tu te poseras plus de questions ! 😉
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Salut Joris 😀
Ahahahaha 😀 Merci pour ton message 🙂
A la prochaine et bon pédalage pour continuer de préparer ton objectif 😉
Overdooooooose de gros cols et de paysages grandioses !!! Tu ne t’arrêtes plus ! Bravo. Tu tiens vraiment une forme du tonnerre 🙂
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Salut Baptiste 🙂
Ouais en ce moment c’est la grande forme ! 🙂 Espérons que ça dure l’été aussi.
Tu enquilles les belles sorties toi aussi 😉
Bonjour Idriss,tu es bien courageux pour faire l’Aubisque par cette météo. C’est moi qui t’avais photographié l’an dernier au sommet du col en arrivant par le Soulor. Je repasserai dans le secteur le 6 mai au cours de la randonnée Bien sportivement. Marc
Author
Bonjour Marc 😀
Je me souviens très très bien de notre rencontre l’an passé !! 🙂 Merci de ton passage ça fait plaisir 🙂
Le 6 juin moi je serai à la Montée du Géant du Tourmalet je pense. On va se rater pour ce jour là. Mais fais moi signe quand tu prévois de repasser dans le secteur 😉
A la prochaine !! 🙂
Je vois que t’avances toujours aussi vite! Je vais embaucher une secrétaire pour te lire, y en a long hi hi hi
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Salut Michel 😀
Quand je pense que j’ai essayais de faire un peu plus court que les articles précédents^^
Le prochain ne va pas tarder sur la sortie ariégeoise de jeudi dernier 🙂
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